Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Sébastien Lecornu invente la nouvelle arithmétique : « Si la France est fauchée, c’est la faute de l’hôpital »

Il commence fort, celui-là. À peine installé à Matignon, Sébastien Lecornu a trouvé le grand coupable du trou béant des finances publiques : l’hôpital. Oui, vous avez bien lu. Ce n’est pas les cadeaux fiscaux aux grandes fortunes, ni les milliards envolés dans les niches et autres chèques aux copains, mais les murs de l’AP-HP et les perfusions du CHU de Trifouillis-les-Oies.

« Le spital » selon Saint Sébastien

Dans un français hésitant entre le lapsus et le charabia post-ministériel, Lecornu nous balance que si les caisses de l’État sonnent creux, c’est parce qu’« on a remis beaucoup d’argent dans l’hôpital ». Traduction : les soignants qui réclamaient quelques miettes pour travailler autrement qu’avec du scotch et de la bonne volonté seraient en réalité les fossoyeurs du budget national.

Le tout enrobé d’une poésie administrative digne d’un sketch de Coluche :

  • « le cégure de la santé »,
  • « les infrastructures pithèlières »,
  • et ce sublime « on le fera d’ici du 1927 ».

À ce rythme-là, on attend avec impatience la réforme de l’orthographe ministérielle : un plan d’urgence qui s’annonce plus vital encore que celui pour les urgences.

Quand la vérité pique

La réalité, pourtant, est d’une simplicité affligeante : l’argent, ce n’est pas aux hôpitaux qu’il a filé, mais bien dans les poches des plus aisés. Entre les baisses d’impôts sur le capital, les milliards envolés dans les subventions opaques et la générosité sans limite envers les grandes entreprises, le lit médicalisé n’est qu’un bouc émissaire bien pratique.

Et pendant que Lecornu joue les comptables de pacotille, les Français patientent toujours sur des brancards dans des couloirs bondés. Mais rassurez-vous : d’ici « 1927 », tout ira mieux.

Un commentaire sur « Sébastien Lecornu invente la nouvelle arithmétique : « Si la France est fauchée, c’est la faute de l’hôpital » »

  1. Ce n’est pas le problème de la dette le plus important, mais de mettre en œuvre la meilleure solution d’economie pour tous les français. Que l’état, les collectivités locales Français fassent des économies et cessent d’augmenter les prélèvements d’impôts et taxes!

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