Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Macron se vante de « 10 % de croissance » pendant que la France crève sous 115 % de dette

Emmanuel Macron s’est encore offert un numéro d’équilibriste : il fanfaronne dans la presse allemande avec ses « 10 % de croissance », tout en traînant une dette nationale plus lourde qu’un menhir d’Obélix. (source : EpochTimes) On appelle ça du storytelling présidentiel : on repeint la façade en doré pour cacher que les fondations s’écroulent.

Une croissance gonflée à la perfusion

Oui, la France a « crû »… mais comme une dinde aux hormones. Les milliards d’aides publiques, les chèques distribués à tour de bras, les plans Covid et les boucliers énergétiques, voilà le secret. Un tour de magie payé… à crédit. Résultat : 115 % du PIB en dette, mais chut, on ne va pas gâcher la photo souvenir publiée dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung.

Le voisin allemand en témoin de mariage

Macron explique aux Allemands que la France est solide, innovante, une « start-up nation » dopée aux licornes et à l’investissement. Dommage que dans la vraie vie, les PME françaises étouffent sous les charges, les impôts et la paperasse administrative qui ferait passer Kafka pour un amateur. Mais bon, tant qu’on peut impressionner Berlin avec des slides PowerPoint, tout va bien.

Bayrou dramatise ? Macron rêve éveillé

Quand Bayrou parle d’un pays « au bord du gouffre », Macron répond qu’il faut « rester prudent ». Traduction : « Laisse-moi vendre mon conte de fées, François, tes prophéties de fin du monde font désordre ». Résultat : d’un côté un Cassandre qui pleure, de l’autre un Jupiter qui chante « Tout va très bien, Madame la Marquise ». Entre les deux, la France, qui paie la facture.

Le système social français ? Trop cher, trop lourd, mais c’est pratique pour se donner bonne conscience

Macron avoue que l’État français est une machine obèse comparée à l’Allemagne. Mais en même temps, il brandit l’étendard social comme un bouclier : « Nous avons mieux protégé nos citoyens ! » C’est vrai : en distribuant des milliards qu’on n’a pas, on protège… provisoirement. Jusqu’à ce que la facture explose et qu’on envoie les petits-enfants régler l’addition.

Le bilan Macron en version non-censurée

  • Croissance réelle : dopée aux subventions, pas durable.
  • Dette : record historique, 115 % du PIB.
  • Déficit : 5,4 % et on parle déjà d’augmenter les impôts.
  • Réformes : retraites contestées, chômage bricolé, start-up nation au stade du pitch deck.

Conclusion : du pipeau en 3D

Macron joue au prestidigitateur : il brandit la croissance comme un lapin sorti du chapeau, mais le public commence à voir les ficelles. Derrière les sourires, c’est la France qui titube, lestée par une dette qui enfle plus vite qu’un ballon de baudruche.

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