Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Mississippi : un camion de singes “infectés” se renverse — un macaque porteur du COVID, de l’hépatite et de l’herpès s’évade dans la nature !

Un camion de recherche qui transporte 21 singes “non infectés mais infectés quand même” se renverse, et soudain, les États-Unis revivent un trailer de Contagion. Trois singes abattus, un toujours en fuite, (source : The Garden) et des autorités qui se contredisent plus vite que leur test PCR. Bienvenue dans le nouvel épisode de Pandémie 2 : le retour du singe masqué.

Le chaos sur roues

Mardi, sur l’I-59, un camion censé livrer ses primates à un centre de tests en Floride s’est renversé.
Résultat : des cages ouvertes, des singes en cavale, et un shérif paniqué qui prévient les habitants du Mississippi :

“Ils sont agressifs, ils ont l’hépatite C, l’herpès et le COVID.”

Rien que ça. On attendait les zombies, on a eu les macaques multivariants.
Puis, plot twist : l’université Tulane, à l’origine des animaux, dément aussitôt.

“Les primates n’ont été exposés à aucun agent infectieux.

Ah, donc on transporte des singes de labo parfaitement sains. Des cobayes sans cobaye.
Et pourquoi pas des seringues sans aiguilles pendant qu’on y est ?

Non infectés”, mais abattus quand même

Les autorités locales, visiblement plus promptes à dégainer qu’à vérifier, annoncent fièrement :

“Tous les singes ont été détruits, sauf un.”

Détruits. Pas capturés, pas soignés.
On a préféré la solution radicale, histoire de bien prouver que tout allait bien.
On dirait une stratégie de communication sortie tout droit du ministère de la Santé française :

“Circulez, y’a rien à voir, mais mettez votre masque, on sait jamais.”

La version qui évolue plus vite qu’un variant

Première version : les singes sont infectés et dangereux.
Deuxième version : ils ne le sont pas, mais il fallait porter des EPI pour les approcher.
Troisième version (en cours d’écriture) : c’est la faute du chauffeur qui a paniqué.

Bref, personne ne sait plus qui ment, qui exagère, ni ce que contenaient vraiment ces pauvres bêtes.
Mais une chose est sûre : il n’aura fallu qu’un camion renversé pour réveiller les vieux réflexes pandémiques.
Entre les “ne vous approchez pas” et les “appelez le 911”, on sent que le storytelling sanitaire n’est jamais bien loin du bitume.

Le dernier singe libre

Pendant ce temps, un singe rôde toujours quelque part dans le Mississippi.
Libre. Sauvage.
Et sans doute bien plus malin que les communicants de Tulane.
Peut-être qu’il cherche un micro pour témoigner, ou un labo pour dire sa vérité :

“Je ne suis pas infecté, juste fatigué d’être un cobaye.”

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