Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Abattages « préventifs » en Bretagne : les vaches bretonnes sacrifiées pour le Mercosur !

En Bretagne, on n’a pas de cas de dermatose nodulaire contagieuse. Pas un seul.
Mais ça n’empêche pas nos génies de la santé animale de sortir la seringue administrative et le flingue sanitaire : on abat les vaches… par précaution.
Et pendant que les carcasses bretonnes s’entassent au nom du « principe de précaution », les conteneurs sud-américains — eux — se préparent à débarquer leur barbaque Mercosur.

Le virus qui tue sans exister

Tout commence avec trois malheureuses vaches bretonnes montées dans un camion.
Pas de fièvre, pas de pustule, pas de toux suspecte.
Mais attention : elles ont voyagé dans le même camion que des veaux — contaminés plus tard, à des centaines de kilomètres.
Résultat ? Euthanasie directe.
Pas de procès, pas de test PCR, pas même un mot d’adieu.

C’est beau, la science moderne : plus besoin d’un virus, il suffit d’un soupçon.

Et la Bretagne devient ainsi le premier territoire où on abat des bêtes pour une maladie qui n’y existe pas.
Bravo les gars, on touche le sommet du génie bureaucratique.

Et pendant ce temps, le Mercosur s’installe

Pendant que la France « dépeuple » ses élevages sains, les accords commerciaux avec l’Amérique du Sud avancent tranquillement.
On va pouvoir importer, en toute sécurité, de la viande pleine d’hormones et de soja transgénique, estampillée « durable » par Bruxelles.
Le mot « durable » ici signifiant : durera tant qu’il restera un agriculteur français à plumer.

La logique est imparable :

  • On détruit le cheptel local pour cause de maladie imaginaire.
  • On ouvre la porte à la viande étrangère pour « compenser les pertes »… et à la viande synthétique.
  • Et on appelle ça la « souveraineté alimentaire européenne ».

C’est officiel : le virus n’est pas dans les vaches, il est dans les décisions.

La Bretagne, nouvelle zone de sacrifice

Les fermes placées sous surveillance ressemblent désormais à des zones de quarantaine politique, où les paysans n’osent plus respirer sans autorisation préfectorale.
Pas de cas confirmés, mais des contrôles, des scellés, des visites vétérinaires…
Et toujours le même refrain :

« Mesures préventives nécessaires pour éviter la propagation. »

La seule chose qui se propage, c’est la peur. Et le goût amer de l’absurde.

Moralité

Après les poulets abattus pour la grippe aviaire, les porcs confinés pour la peste, voici les vaches abattues pour un fantasme viral.
Les paysans tombent, les exploitations ferment, et Bruxelles applaudit en signant de nouveaux quotas d’importation.

Le Mercosur n’a même plus besoin d’envahir nos marchés : on lui prépare le terrain, à coups de seringue et de paperasse.

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