Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Quand le « bio » se fait enrober : l’Apeel de Bill Gates, ou comment verdir le plastique invisible

Ah, le progrès ! On voulait sauver la planète, on finit par manger son emballage.
Bienvenue dans le merveilleux monde du « bio » 2.0 : certifié, marketé, estampillé écolo… et désormais enrobé d’un vernis chimique sponsorisé par Bill Gates. Oui, ce même Bill qui a déjà mis ses doigts dans les vaccins, les labos et maintenant, dans ton avocat.

L’Apeel du progrès (et du portefeuille)

Officiellement, Apeel Sciences fabrique un revêtement « naturel », à base de lipides végétaux. Une fine couche, invisible, censée « protéger » tes fruits du gaspillage. (source : Green Matter)
En réalité ? Un film breveté, impossible à détecter, difficile à laver, et parfaitement placé pour transformer la nature en propriété intellectuelle.

Et qui retrouve-t-on derrière le projet ?
Une belle ribambelle d’investisseurs dont la Bill & Melinda Gates Foundation, toujours prête à « sauver le monde » — mais à condition de déposer le brevet avant.

Le bio, cette vaste blague marketing

Le plus savoureux ?
Le produit s’appelle Organipeel. Oui, oui. Comme « organic » (bio) et « peel » (peau). (source : Michele Gargiulo)
Résultat : tes fruits bio peuvent désormais être « certifiés biologiques »… tout en étant recouverts d’une pellicule industrielle sortie d’un labo californien.
Et devine quoi ? Aucune obligation d’étiquette claire pour te prévenir.
Parce qu’évidemment, la transparence, c’est surfait.

Une couche d’hypocrisie, version durable

Officiellement, on nous vend ça comme une innovation éco-responsable : “Ça prolonge la durée de vie, ça évite le gaspillage !”
En vrai ? C’est un cache-misère chimique pour compenser un système agro-industriel incapable de respecter les saisons et les circuits courts.
Tu ne peux plus manger une tomate sans code QR, ni croquer une pomme sans brevet.
Le « bio industriel », c’est un peu comme un burger vegan à la viande synthétique : ça a le goût du naturel, mais pas l’odeur de la sincérité.

L’ironie du sort

Alors oui, techniquement, c’est « sûr ». La FDA l’a dit.
Mais la FDA, c’est aussi celle qui trouve normal de coller du sirop de maïs dans les biberons.
Et pendant que les citoyens demandent plus de transparence, on leur colle du “GRAS” – le label “Generally Recognized As Safe”. Traduction : “On ne sait pas ce que c’est, mais on suppose que ça passe.”

Le bio, version Brevet n°XJ-746-BillG

La boucle est bouclée.
Après les semences OGM, les vaccins ARNm et la viande de laboratoire, voici les fruits brevetés.
Sous couvert d’écologie, on privatise le vivant ; sous couvert de durabilité, on t’impose le bio chimique.
Bientôt, même tes salades auront besoin d’un avocat (pas celui qu’on mange, l’autre).

La morale du frigo

Alors oui, le gaspillage alimentaire, c’est un vrai problème.
Mais si la solution, c’est de bouffer du plastique organique estampillé “durable” par les amis de Bill, on préférera encore les pommes moches mais franches.
Le seul label qui vaille aujourd’hui ?
“Connu de mon maraîcher.”

« Parce que même la peau des fruits a ses secrets. »

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