Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

François Bayrou réinvente la dette : « Ce n’est pas l’État, ce sont les Français »

Ah, François Bayrou… éternel sage autoproclamé du Béarn, toujours prêt à nous rappeler que si la dette explose, ce n’est pas la faute des gouvernements (les pauvres choux), mais la nôtre, à nous, citoyens ingrats qui osons respirer et vieillir.

La dette, c’est vous, pas eux

« La dette, ce ne sont pas les gouvernements qui la consomment… Elle a été dépensée en protection de nos concitoyens », déclare Bayrou le 25 août, sous le regard d’Élisabeth Borne. Traduction : quand on a financé des masques inutiles par milliards, des vaccins au frigo et des confinements absurdes, c’était pour vous, hein, pas pour nous. Donc fermez-la et payez.

L’État : toujours victime, jamais coupable

Avec Bayrou, on découvre que l’État est une espèce d’ONG bienveillante qui n’a rien à voir avec la dette publique. Les gouvernements successifs ? Blanchis. Les dépenses délirantes ? Circulez. Les gaspillages structurels ? Tabou. La dette, c’est comme la pluie : ça tombe du ciel, et si vous êtes trempés, c’est que vous l’avez bien voulu.

Le Covid, bouc émissaire officiel

Évidemment, Bayrou n’a pas pu s’empêcher de brandir le Covid. « Suffit de penser au Covid », dit-il. Ah oui, ce Covid qui a justifié tout et n’importe quoi : hôpitaux asphyxiés par manque d’anticipation, milliards jetés dans des tests à gogo, cabinets de conseil engraissés jusqu’à la moelle… Mais attention : pas touche, c’était pour vous protéger.

L’art de retourner la facture

Le plus beau dans cette histoire, c’est que Bayrou réussit à transformer la dette publique en dette morale : si on en est là, c’est parce que vous avez accepté d’être « protégés ». Donc maintenant, on vous enverra la facture. Logique.

Avec Bayrou, le contribuable devient à la fois patient, coupable et caissier. Prochain épisode : on découvrira sûrement que si la France croule sous les impôts, c’est encore parce qu’on a insisté pour avoir des routes et des écoles.

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