Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Chikungunya : l’OMS prévient une apocalypse moustique pendant que vous videz vos pots de fleurs

5,6 milliards de personnes menacées ! (source : Science et vie) crie l’OMS, pendant que vous tentez de ne pas mourir… de chaud. Après avoir carburé au Covid, à la variole du singe et aux résurgences pseudo-apocalyptiques de la grippe aviaire, l’Organisation Mondiale de la Santé (qui n’a définitivement plus de bouton pause) revient avec un tout nouveau best-seller viral : le Chikungunya, star montante de l’été 2025.

« Nous voyons l’histoire se répéter »… Oui, surtout celle des campagnes de panique

Selon Diana Rojas Alvarez, l’une des hautes prêtresses de l’OMS, l’année 2025 serait un bis repetita de 2005, avec un virus prêt à danser la samba dans nos articulations douloureuses. C’est beau, l’innovation médicale, quand elle consiste à recycler une épidémie vieille de 20 ans. Et pile le 22 juillet, trois jours après la date symbolique où l’OMS a acquis un petit pouvoir discrétionnaire planétaire en cas de crise sanitaire. Coïncidence ? Vous avez dit coïncidence ?

L’épidémie partie de l’Océan Indien (encore), mais le marketing est mondial

Cette fois, La Réunion, Mayotte, l’Île Maurice ont eu l’honneur d’inaugurer la tournée mondiale du moustique-tigre. Une star rayée de noir et blanc, sans label mais avec des piqûres VIP. L’Europe, l’Afrique, l’Asie… tout le monde a été invité à la fête, même la France, où 833 cas importés et 12 transmissions locales ont été repérés entre mai et juillet. Un virus qui se veut inclusif.

Prévention version 2025 : Spray, moustiquaire… et fin de l’eau stagnante

Vous croyez que la science a progressé ? Détrompez-vous. Pour ne pas choper le Chikungunya, l’OMS vous recommande… de mettre un tee-shirt et vider vos pots de fleurs. Niveau prévention, on est clairement dans le high-tech. On attend avec impatience la conférence mondiale pour exiger l’interdiction des gouttières bouchées et des flaques sentimentales.

Réchauffement climatique : l’allié santé publique… du moustique

Oui, le moustique-tigre adore les climats tropicaux. Et comme nous avons apparemment transformé la planète en hammam géant, notre rayé préféré peut désormais élire domicile dans le Cantal comme à Bangkok. Moralité ? Grâce à nos efforts inconsidérés pour tout réchauffer sauf nos cœurs, la saison des moustiques n’a plus de fin. Et ça tombe bien : celle des alertes sanitaires non plus.

L’OMS en quête d’un nouveau sens (et de subventions)

Il fallait bien un nouveau fléau planétaire pour rentabiliser le traité pandémique tout juste adopté. Car une fois qu’on a accordé les pleins pouvoirs à une institution qui n’a ni contre-pouvoirs, ni élections, il faut bien justifier son utilité. Chikungunya, grippe du pangolin, toux sèche de lama ? Peu importe. L’essentiel, c’est que ça pique.

En résumé : Le moustique-tigre fait son grand come-back, l’OMS jubile, les médias relaient, et vous… vous grattez. Mais surtout, gardez bien à l’esprit que la vraie menace, ce n’est pas tant le virus que l’exploitation chronique de la peur collective. Et ça, aucun répulsif n’en viendra à bout.

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