Il était une fois, dans l’UERSS de la bienpensance, un fromage devenu persona non grata. Le Comté. Oui, ce petit joyau du Jura, classé AOP, caressé par le savoir-faire ancestral et salué par les papilles des gourmets… serait devenu, selon certains éco-puritains, l’ennemi public numéro un. Pourquoi ? Parce que produire du Comté, c’est mal, c’est pas éthique, c’est contre les vaches, la planète, et accessoirement, contre le plaisir.
Ah, la nouvelle Inquisition verte a encore frappé. Après le diesel, les jets privés et les feux de cheminée, voilà qu’on nous sort la ZFD : Zone Faible en Déjections bovines. Les bouses abîmeraient les sols. Oui, vous avez bien lu : la crotte de vache est désormais une menace climatique. On se demande comment l’Humanité a survécu avant les toilettes sèches et les purges idéologiques de Greta & co.
Du goût, mais pas de culpabilité ? Blasphème !
Pendant que la France (pardon, le Frankistan) croule sous les impôts, les plans sobriété et les carences en liberté, certains militants végano-écolo-expérimentaux ont décidé de s’en prendre au Comté. Trop de lait, trop de vaches, trop de méthane, pas assez de tofu aux algues. Un scandale. Imaginez la scène : des activistes en Birkenstock, déguisés en vache Montbéliarde, hurlant « Vous avez du sang vert sur les mains ! » à la sortie d’une fruitière.
Et si on allait plus loin ? Bientôt des CRS dans les caves d’affinage, des drones survolant les alpages, et des QR codes pour contrôler la traçabilité morale de chaque meule. Ah non, pardon, ça, c’est pour bientôt. L’UE adore les QR codes.
L’écologie punitive : quand rire devient un acte de résistance
On rit jaune, mais on rit encore. Parce qu’il faut bien répondre à l’absurde par l’absurde. Si manger du Comté déclenche l’éco-anxiété de quelques ayatollahs verts, eh bien qu’ils aillent se faire une infusion de pelures de navets sous cellophane compostable.
Le Comté, c’est peut-être un cauchemar pour les dogmatiques du climat, mais c’est un rêve pour les gens normaux. Oui, ceux qui ont encore une vie, des papilles, et une once de bon sens. Et tant qu’il y aura des vaches, du lait et un coin de montagne, il y aura du Comté. Et des râleurs. Dont moi.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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