Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

BFMTV accusée d’engager des acteurs pour ses « témoins » : Arthur, Pablo ou Édouard, qui veut gagner des likes ?

Ah, BFMTV… Toujours fidèle à sa réputation de chaîne où le spectacle prime sur l’info. Dernière trouvaille ? Un jeune homme qui apparaît dans plusieurs reportages, parfois Arthur, parfois Pablo, parfois Édouard. (source : Les curieux du net) Bref, une sorte de Pokémon médiatique : attrapez-les tous, mais avec le même visage.

Les réseaux sociaux, évidemment, se sont régalés : « Alors, c’est combien le cachet pour passer du client Shein au vacancier lambda ? » Les internautes flairent la mise en scène, dénoncent des « faux témoins », et Arcom est même alertée. Rien que ça.

Arthur, acteur en herbe ou manipulateur de micro ?

Le principal intéressé, lui, a sorti le grand jeu : il s’appelle Arthur, il fait un peu d’acting, et surtout… il adore s’inventer des prénoms. Pablo par-ci, Édouard par-là, le tout devant des caméras qui n’ont rien vu venir. Autant dire que la vérification des infos à BFM doit être du même niveau que le contrôle qualité d’un kebab à 3h du matin.

« Je n’ai jamais été payé », jure-t-il. Simple hobby, paraît-il. En clair : il teste sa carrière d’acteur sur le dos du journalisme, et ça marche – il a décroché son premier rôle dans le théâtre permanent de la défiance envers les médias.

BFM se défend… et se prend les pieds dans le micro

Face au scandale, BFM a réagi : « Jamais nous n’avons payé qui que ce soit pour témoigner. » Pas d’acteurs, pas de cachets, rien que du hasard malheureux. Autrement dit, deux journalistes différents ont interviewé le même mec sous deux identités différentes… et personne n’a tilté. À croire qu’ils ont des lunettes en option chez RMC-BFM.

La chaîne reconnaît tout de même s’être fait avoir par « un créateur de contenus parodiques ». Traduction : les journalistes, censés vérifier les infos, se sont laissés berner par un gars qui joue avec des prénoms comme d’autres avec des filtres TikTok.

Une polémique qui flingue la crédibilité

Résultat : BFM s’en sort avec un communiqué, Arthur avec une petite notoriété, et le public avec une conviction renforcée : à la télé, la frontière entre information et divertissement est aussi fine qu’un cheveu sur la soupe.

Au fond, peu importe que BFM ait payé ou pas. Le vrai problème, c’est qu’un simple étudiant en comédie a réussi à transformer la chaîne info en scène d’impro. Et là, même sans cachet, ça fait cher la crédibilité.

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