Covid-19 : Non-lieu pour Buzyn, Philippe et Véran – Quand l’irresponsabilité devient une compétence d’État

Ils ont confiné, reconfiné, masqué, démasqué, interdit les joggings, autorisé les élections, fermé les parcs mais laissé ouverts les supermarchés. Ils ont dit tout et son contraire. Et aujourd’hui ? Non-lieu général. (source : BFMTV) Circulez, y a rien à juger.

Gérer une crise ou jouer à la roulette sanitaire ?

On parle ici d’une gestion qui a transformé la France en laboratoire géant d’absurdité bureaucratique. Mais selon le procureur Rémy Heitz, tout ça, c’est du passé. Édouard Philippe, Agnès Buzyn et Olivier Véran, désormais blanchis par le sceau de l’impunité institutionnelle, auraient tout bien fait. Enfin… selon les critères en vigueur dans l’UERSS, hein.

« Nombreuses initiatives ont été prises », dit-on. Oui, comme interdire les tests aux malades, cacher des stocks de masques, et envoyer les soignants en première ligne avec des sacs-poubelles. Des génies.

Buzyn, la fugitive de la mairie

Agnès Buzyn, elle, a été sauvée par le calendrier. Partie en campagne municipale pendant qu’un virus mondial frappait à la porte, elle aurait quitté son poste « avant qu’il y ait un sinistre ». Traduction : la maison brûlait, mais elle n’était plus pompier, donc relaxe.

Mieux encore : sa mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui ? Annulée. La justice a jugé qu’elle n’avait violé aucune obligation particulière de prudence ou de sécurité. C’est vrai, demander un peu de prévoyance à une ministre de la Santé, ce serait injuste. On confondrait presque compétence et responsabilité…

Véran, Philippe : témoins assistés, mémoire allégée

Quant à Véran et Philippe, ils restent témoins assistés. Ce statut, c’est un peu comme mettre un gyrophare sur une citrouille : ça impressionne, mais ça ne mène nulle part. Ils ont « agi ». Mal, sans doute, mais « agi ». Et c’est tout ce qu’on leur demandait.

Une justice bienveillante… envers les puissants

Pendant que le peuple se faisait verbaliser pour une promenade trop longue ou une attestation mal cochée, les grands chefs, eux, ont droit à la bienveillance judiciaire. Ce non-lieu est un symbole parfait de notre démocratie sous respirateur : les citoyens paient, les décideurs s’excusent à peine.

——————————–

Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

——————————–

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*