Trois ans, des milliards de doses et un nombre incalculable de plateaux télé plus tard, la vérité éclate : le COVID-19 ne vient pas d’une chauve-souris, ni d’un pangolin sous acide, mais bien d’un laboratoire chinois. Bravo les experts, on n’avait presque pas deviné…
Vous vous souvenez, en 2020, quand il suffisait de mentionner « fuite de labo » pour se faire traiter de complotiste sur Facebook, YouTube et même au dîner de famille ? Quand les fact-checkers, ces nouveaux prêtres de la vérité absolue, nous expliquaient avec un air condescendant que « NON, il est scientifiquement prouvé que le virus vient d’un marché humide » ?
Eh bien, accrochez-vous à vos FFP2, parce que la Maison Blanche vient (enfin) d’officialiser ce que tout le monde soupçonnait depuis longtemps : le COVID-19 provient très probablement d’un laboratoire à Wuhan.
Mieux vaut tard que jamais
Après des années d’enquêtes (et sans doute quelques PowerPoint très sérieux), Washington a donc lâché la bombe : la théorie du labo n’est plus une théorie, mais une réalité. Alors, comment réagir ? Doit-on organiser une minute de silence pour la crédibilité de l’OMS ? Monter un comité de soutien pour les complotistes injustement bannis des réseaux sociaux ?
Soyons honnêtes : c’était aussi évident qu’un test PCR positif après avoir éternué devant un coton-tige. Entre les e-mails de Fauci révélant que « oui, bon, on savait, mais fallait pas affoler la populace », les scientifiques du monde entier qui s’étonnaient de la biodynamique étrange du virus, et le fait que le laboratoire de Wuhan étudiait justement les coronavirus, il fallait vraiment être vacciné à la naïveté pour croire à l’histoire du pangolin kamikaze.
La science avance, le déni aussi
Mais attention, soyons mesurés. Si la Maison Blanche lâche l’info, c’est pas non plus une raison pour paniquer. Comme dirait l’OMS, ce n’est pas parce qu’un labo manipule des virus mortels sans prendre assez de précautions qu’il faut commencer à remettre en question la sainte sécurité des labos de niveau 4. Ce serait malvenu.
Et puis, maintenant que la Chine a eu le temps de faire disparaître toute trace gênante et que plus personne ne porte de masque (sauf les paranos en 2025), est-ce que ça change vraiment quelque chose ?
Des conséquences ? Mais lesquelles ?
Washington accuse, Pékin dément, Twitter s’enflamme, et dans six mois, on aura déjà oublié.. ou pas. Quelques députés proposeront peut-être un nouveau traité mondial sur la gestion des pandémies (coucou l’OMS), les médias mainstream nous expliqueront que « c’était pas si simple à prouver avant », et ceux qui avaient été censurés en 2020 pourront juste se consoler en se disant qu’ils avaient raison avant tout le monde.
Mais ne vous inquiétez pas, le prochain virus est sûrement déjà en préparation quelque part, et avec un peu de chance, on nous expliquera qu’il vient d’un hérisson enrhumé de Mongolie.
D’ici là, un conseil : si un jour vous entendez qu’un nouveau virus super-contagieux a été détecté à côté d’un laboratoire qui étudie ce type précis de virus… Essayez de ne pas rire trop fort.
Citation Madame-Raleuse.com
Trois ans de mensonges, des milliards dépensés… et maintenant, on nous dit que c’était bien une fuite de labo ? Bravo les experts, quel timing parfait !
Exprimez-vous !
Et vous, êtes-vous surpris par cette révélation ou aviez-vous déjà tout compris avant la Maison Blanche ? Réagissez en commentaire !
——————————–
Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
——————————–
Le gain de fonction est une chose très répandue et qui est validée avant tout pour créer des souches comme la mH5N1…. une grippe aviaire très mortelle… A quand son lancement dans le commerce ?
C’est déjà en route