Aurore Bergé, l’ancienne ministre des Solidarités, au cœur d’un scandale de collusion avec les lobbyistes des crèches privées. (source : Libération) Des échanges compromettants révélés par Victor Castanet jettent une lumière crue sur des pratiques dignes d’un mauvais feuilleton. Madame-Raleuse.com décortique avec ironie cette alliance politique douteuse. Vous allez rire… ou pleurer !
Quand les copines gèrent la politique
Ah, Aurore Bergé, la ministre des Solidarités qui n’aura finalement été solidaire... que d’elle-même et de ses copines lobbyistes des crèches privées. Une histoire de « copine très aidante » qui pourrait presque faire sourire, si ce n’était pas aussi grotesque. On imagine la scène : une réunion entre la ministre et ses meilleurs amis, les lobbyistes du secteur, où tout ce petit monde s’échange des messages sur WhatsApp, se refile des bons tuyaux, et rigole des naïfs qui croient encore à l’intégrité politique. Le tout avec des petits smileys pour garder l’ambiance légère. On a presque envie de leur dire « merci » pour tant de transparence.
Victor Castanet, ce trouble-fête, a donc eu la brillante idée de plonger ses mains dans cette mare vaseuse et d’en ressortir des perles. Ah, les fameuses captures d’écran ! Qui aurait cru que des discussions de WhatsApp deviendraient la clé de voûte des plus grands scandales ? « C’est une copine 🤣 », écrit Aurore, comme si elle s’apprêtait à réserver une table pour bruncher. Elsa Hervy, la lobbyiste en chef des crèches privées, devient alors plus qu’une simple alliée, elle est carrément le bras droit de la ministre. Et tout ça, bien sûr, pour notre plus grand plaisir de spectateurs cyniques.
Un scandale bien gardé… jusqu’à maintenant
Et que dire de ce « pacte de non-agression » entre la ministre et le secteur privé des crèches ? À croire que même dans le domaine de la petite enfance, on ne peut plus faire confiance à personne. La ministre qui récite comme un perroquet les éléments de langage concoctés par les lobbyistes, c’est la version moderne des marionnettes, mais cette fois, avec des crèches à la clé. Il faut bien avouer qu’il est plus facile de gérer son image politique quand personne ne critique la politique de la petite enfance… surtout quand on contrôle ceux qui devraient la critiquer.
Pendant ce temps, les familles, elles, doivent se contenter de crèches où les conditions de travail sont à pleurer. Mais bon, tant que les copines s’entendent bien, tout va pour le mieux, non ? Heureusement, Victor Castanet, le vilain garnement qui ne suit pas les règles du jeu, balance les preuves à France Info et provoque un mini-séisme politique. On peut presque entendre Aurore Bergé dire « C’est de la rumeur et de la diffamation », tout en essuyant quelques gouttes de sueur.
Et bien sûr, la nouvelle ministre, Agnès Canayer, se lance dans l’art délicat de la communication post-scandale. « C’est inacceptable », répète-t-elle en boucle, tout en promettant des « solutions ». Mais au fond, qui y croit encore ? Parce qu’entre nous, ces promesses sonnent comme le refrain d’une chanson qu’on a déjà trop entendu. Quant aux familles qui espèrent un jour voir des crèches dignes de ce nom, elles n’ont qu’à bien se tenir et attendre patiemment que les « copines » finissent de s’entraider…
Citation de Madame-Raleuse.com
Copines ou complices ? Quand la politique se fait entre deux smileys !
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La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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