Nos chers dirigeants ont trouvé la recette parfaite pour transformer la France en roi du déclassement qui perd son statut privilégié sur les marchés (source La Tribune) : un cocktail explosif de dettes, de privilèges, et de mépris pour le peuple. Vous voulez savoir jusqu’où ils sont prêts à aller pour se moquer de nous, lisez cet article sur Madame-Raleuse.com ! Accrochez-vous, ça va piquer !
Le grand déclassement
Ah, la France, ce pays où tout va toujours si bien, surtout lorsqu’il s’agit de finances publiques. Notre cher gouvernement semble avoir un talent inégalé pour jouer au Monopoly avec notre dette. Le tout, bien sûr, en nous expliquant avec le sourire que tout est sous contrôle… sauf peut-être la note des agences de notation, qui, elle, dégringole plus vite qu’un ministre pris la main dans le sac.
Fitch, Moody’s, Standard & Poor’s… Ah, ces agences ! Autrefois, la France brillait dans leurs grilles d’évaluation comme un étudiant modèle, toujours un petit A en poche. Mais ça, c’était avant. Aujourd’hui, on est plus proche du fond de la classe, avec l’Espagne qui nous regarde de haut et l’Allemagne qui se demande si on ne devrait pas nous renvoyer à la case départ sans toucher les 200 euros.
Et qui est à blâmer ? Nos chers présidents et élus, bien entendu ! Après tout, ils sont les seuls capables de faire passer une augmentation de la dette publique pour un acte héroïque, digne d’un marathon fiscal. Le hic, c’est que ce marathon-là, on l’a couru en moon boots. Entre les prévisions de croissance optimistes (parce que, vous comprenez, l’optimisme c’est important !) et les recettes fiscales qui n’arrivent jamais à l’heure, notre budget national ressemble à un sketch de stand-up : on sait que ça va mal finir, mais on rigole quand même.
Entre privilèges et déclassement, merci à nos dirigeants !
Bien sûr, Gabriel Attal, avec toute la crédibilité de la France qu’il aime vanter, n’hésite pas à nous dire que tout va bien. « La dette ? Mais c’est sous contrôle ! » s’exclame-t-il. C’est sûr que lorsque vous vous planquez derrière des taux d’intérêt en baisse, tout semble plus facile. Mais attention, à force de jouer avec le feu, nos ministres risquent de se brûler les ailes… et nous, de devoir encore creuser un peu plus dans nos poches déjà bien vides.
Parce que oui, c’est nous, le peuple, qui paierons les pots cassés. Pendant que nos chers élus continuent de profiter de leurs petites réceptions et autres privilèges, nous, on se demande si on arrivera à joindre les deux bouts. Mais ne vous inquiétez pas, tant que la France peut « lever l’impôt« , comme ils disent, tout ira bien, non ? Après tout, ils sont passés maîtres dans l’art de nous faire payer pour leur incompétence. On devrait presque les remercier pour leur ingéniosité fiscale.
Alors, que nous réserve l’avenir ? Un déclassement, c’est sûr, mais « progressif ». On nous dit que tout est anticipé, que les mauvaises nouvelles sont déjà dans les tuyaux. Super. On est donc les rois du déclassement, mais tout va bien, puisqu’on a toujours des acheteurs pour notre dette. Oui, parce que soyons clairs, tant que l’Allemagne ne veut pas trop s’endetter, on reste le second choix des investisseurs. Quelle chance ! On pourrait presque appeler ça le privilège français.
En résumé, merci à nos dirigeants de nous avoir amenés là. Entre une dette qui s’envole et des perspectives économiques qui font rêver… personne, on peut dire qu’on est bien lotis. Mais bon, ne soyons pas trop durs, ils essaient… à leur manière.
Citation de Madame-Raleuse.com
Nos élus jouent au Monopoly avec la dette, et c’est toujours nous qui payons !
Exprimez-vous !
Pensez-vous que nos dirigeants méritent encore notre confiance face à ce déclin financier ? Dites-nous ce que vous en pensez dans les commentaires !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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« Réfléchir c’est difficile , c’est pour cela que certains agissent hâtivement dans un monde où il faut penser global et agir local. La République Française et son administration sont un système qui permet à une petite caste d’irréfléchis , de privilégiés d’avoir du pouvoir , des privilèges abusifs , et de l’argent en dépossédant des richesses , le peuple du secteur privé devenu esclave . Les esclaves produisent tous les jours et toujours plus taxés et imposés pour rembourser une dette que des incompétents ont créée .. »
« Quand le pillage devient un moyen d’existence pour un groupe d’hommes, qui vit au sein de la société , ce groupe finit par créer pour lui-même tout un système juridique qui autorise le pillage et un code moral qui le glorifie .