Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

De la Clio au drone : Renault roule désormais pour la guerre en Ukraine

On connaissait Renault pour ses Clio, ses Twingo et son éternel slogan « à vous de vivre ». Mais voilà que le ministère des Armées a eu une idée lumineuse : pourquoi ne pas transformer les usines de voitures en usines à drones militaires, histoire de donner un petit coup de pouce à l’Ukraine ? Après tout, si on sait assembler des essuie-glaces, on doit bien pouvoir fixer une ogive.

Sauf que – détail fâcheux – les salariés ne semblent pas enchantés. « On a signé pour fabriquer des voitures, pas des armes », martèlent-ils. (source : BFMTV) Comme si changer une batterie de Scenic et armer un drone de combat n’étaient pas exactement la même passion mécanique.

La guerre, nouvelle option Renault

Imaginez la brochure publicitaire :

  • Renault Captur – finition “Urbain chic”
  • Renault Mégane – finition “Business connectée”
  • Renault Drone – finition “Front Est ukrainien”

À ce rythme, on s’attend presque à voir débarquer une gamme « Z.E. » – non pas pour Zero Emission, mais pour Zone Explosive.

Les salariés trinquent pendant que l’État rêve de drones low-cost

Évidemment, dans les ateliers, l’idée passe comme une boîte de vitesses mal huilée. Certains ouvriers soulignent qu’ils travaillent aux côtés de collègues d’origine russe ou ukrainienne, et qu’on leur demande de produire… des engins destinés à exploser chez les cousins. Ambiance barbecue, sauf qu’on grille autre chose que des merguez.

Renault, retour vers le passé

Petit rappel historique : Renault a déjà fait dans le militaire… mais c’était pendant la Seconde Guerre mondiale. En 2025, rebelote : l’entreprise se retrouve propulsée dans le rôle de fournisseur potentiel d’armes. Comme quoi, l’histoire a la fâcheuse manie de repasser les plats – même froids.

Conclusion : le business avant tout

Finalement, tout ça illustre à merveille la logique moderne : un constructeur automobile qui se diversifie dans le drone militaire, c’est juste la mondialisation qui s’amuse. Après tout, si on a des voitures électriques qui explosent toutes seules, pourquoi pas des drones électriques qui explosent… mais sur commande ?

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