Madame-Raleuse.com frappe encore ! Michel Barnier, fraîchement nommé Premier ministre, découvre une France au bord du gouffre budgétaire… et c’est sans compter sur Gabriel Attal qui transforme une simple réunion en défilé gouvernemental ! Préparez-vous, l’absurdité est à son comble. (source : Public Sénat)
Le Titanic budgétaire en vue !
Michel Barnier, tout juste nommé, ne perd pas de temps pour tirer la sonnette d’alarme. Pas question de s’installer dans le fauteuil en cuir de Matignon et de profiter du bureau avec vue imprenable sur le jardin. Non, non. À peine arrivé, Michel découvre que les finances publiques sont, comment dire… un peu dans le rouge (rouge écarlate, même). Et ça, ça ne lui plaît pas. Alors il sort le grand jeu : « La situation est très grave, j’ai demandé tous les éléments pour en apprécier l’exacte réalité. » Oh, suspense ! On attend presque la révélation d’un complot budgétaire mondial.
Bien sûr, Michel Barnier, l’homme de la rigueur, n’est pas du genre à faire dans la dentelle. « Cette situation mérite mieux que des petites phrases », balance-t-il, avec la subtilité d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Il en profite pour glisser qu’il veut redresser le niveau de vie des Français (comme si aucun politicien l’avait dit avant lui), tout en évitant soigneusement le mot qui fâche : « hausse d’impôts ». Parce que bon, les macronistes ne veulent même pas entendre ce mot en rêve. Qui aurait cru que relancer la croissance, c’était aussi simple que de ne pas parler d’impôts ?
Café serré pour délégation XXL
Ah, mais ce n’est pas tout. Juste avant que Michel Barnier ne nous fasse son grand numéro sur la gravité de la situation budgétaire, un autre événement tout aussi dramatique se jouait en coulisses : la réunion tant attendue avec Gabriel Attal est reportée. Et là, c’est le drame. Pourquoi ? Parce que Gabriel Attal, ce petit malin, avait décidé de venir avec une équipe de huit personnes. Oui, vous avez bien lu. Pas une, pas deux, mais huit ! Comme s’il s’agissait d’une sortie scolaire à Disneyland.
Evidemment, l’entourage de Barnier n’a pas trop apprécié. « Ce n’est pas la colonie de vacances », s’amuse un observateur. Et puis, « la règle, c’est la règle » : trois personnes maximum. Apparemment, au-delà, la table de réunion se transforme en foire d’empoigne. On imagine bien Michel, serrant les dents, en train de se dire qu’il y a déjà assez de difficultés à résoudre la crise budgétaire sans devoir se battre pour savoir qui prend le dernier croissant.
Entre l’horaire incertain et les modalités de participation, on sent que ce gouvernement d’unité nationale va être aussi simple à constituer qu’un château de cartes en pleine tempête. Mais bon, ne vous inquiétez pas, « ça avance », assure-t-on. Enfin, avance doucement, comme un escargot pris dans un embouteillage.
Citation de Madame-Raleuse.com
Quand la réunion tourne au fiasco à cause d’un excès de café… et de ministres.
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