Madame-Raleuse.com, toujours prompte à déceler l’absurdité de notre quotidien, nous offre aujourd’hui un regard mordant sur le Conseil de sécurité de l’ONU et le débat houleux autour du cessez-le-feu à Gaza. Préparez-vous à plonger dans un monde où les enjeux politiques semblent parfois l’emporter sur l’humanité. (source : France Soir)
Le Conseil de sécurité de l’ONU face au cessez-le-feu humanitaire à Gaza
Ah, le Conseil de sécurité de l’ONU, cette formidable assemblée où l’absurdité politique atteint des sommets vertigineux ! Une fois de plus, le monde a eu le privilège de contempler l’intrépide Conseil en action, ou plutôt en inaction, lorsque la proposition russe visant à instaurer un cessez-le-feu humanitaire à Gaza a été rejetée. Après tout, qui a besoin de paix, de sécurité, et de ces babioles humanitaires quand on peut simplement regarder les conflits faire rage ? Ça met du piment dans la vie, non ?
Vous voyez, la ville de Gaza était déjà en proie à d’intenses combats depuis dix jours entre Israël et les militants du Hamas. Les civils, bien sûr, n’avaient qu’à se débrouiller et à espérer que les bombes ne tombent pas sur leur tête. Pourquoi laisser une trêve humanitaire gâcher le plaisir de ces moments tendus ?
La proposition russe et le vote du Conseil de sécurité
La proposition russe était pourtant d’une simplicité désarmante : un cessez-le-feu humanitaire, la libération des otages, et l’évacuation des civils en toute sécurité. Cependant, l’absence de condamnation explicite du mouvement extrémiste du Hamas a divisé l’assemblée. Parce que, qui se soucie vraiment de la vie de ces civils lorsque l’on peut se perdre dans des disputes politiques stériles ?
Finalement, la grande farce s’est conclue avec seulement cinq pays votant en faveur de la résolution (la Chine, le Gabon, le Mozambique, la Russie et les Émirats arabes-unis). Cependant, quatre autres ont décidé qu’ils préféraient que la violence continue (la France, le Japon, le Royaume-Uni et les États-Unis). Les six membres restants du Conseil de sécurité ont préféré l’abstention, car prendre une décision responsable, c’est bien trop fatigant.
Pour que le Conseil puisse adopter une résolution, il doit recueillir au moins neuf voix favorables, sans qu’aucun de ses cinq membres permanents n’y mette son veto. Apparemment, cela semblait être un défi insurmontable cette fois-ci, car la résolution n’a pas passé le test.
Alors voilà, une autre brillante journée au Conseil de sécurité de l’ONU. Bravo à eux pour leur constante efficacité dans la résolution des conflits mondiaux. On ne peut qu’admirer leur capacité à garder le statu quo et à laisser la violence perdurer. C’est vraiment quelque chose ! On se demande vraiment à qui profite les guerres !
Citation de Madame-Raleuse.com
Le Conseil de sécurité de l’ONU : où les débats enflammés sont plus sacrés que la vie humaine, et où la procrastination politique devient un art.
Exprimez-vous !
Que pensez-vous de la position prise par la France ? Quelle serait, selon vous, la priorité du Conseil de sécurité de l’ONU : la diplomatie efficace ou les jeux de pouvoir politiques ? N’hésitez pas à partager vos réflexions et impressions sur cette épineuse question.
La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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L’ONU et les pays de l’OTAN demandent la libération du Russe NAVALNY (un escroc notoire) mais pas de Julian Assange qui dit la vérité sur les crimes, escroqueries des USA et autres pays ; étonnant le deux poids et deux mesures de l’ONU et des pays de l’OTAN ?
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