Bienvenue dans l’Europe nouvelle génération, celle où l’on vous sourit pendant qu’on vous retire vos droits. Pas besoin de tanks, pas besoin d’expropriations brutales : il suffit d’un stylo, d’une directive et hop, votre jardin devient un sanctuaire protégé… pour les limaces.
Oui, parce qu’au nom de la planète, on vous enlève doucement mais sûrement le droit de jouir de votre propriété. C’est le col cause écologique – baptême officiel par Willy Schraen – une merveille administrative où les mots “protéger la nature” se traduisent par “vous interdire de planter trois géraniums sans l’autorisation de Bruxelles”.
30% du territoire sous cloche… et votre pelouse avec
On nous parle de restauration de la nature, mais derrière, c’est surtout la mise sous tutelle d’un tiers du pays.
- 10 % de la France : intouchable, plus aucun humain autorisé à y faire quoi que ce soit, même pas du tricot sur un banc public.
- 20 % supplémentaires : réglementés jusqu’à la dernière taupinière, avec des plans de gestion où vous aurez plus de cases à cocher que pour un prêt immobilier.
Et demain ? Une taxe au mètre carré pour votre gazon, parce qu’il absorbe mal le CO₂. Une amende si votre barbecue émet trop de fumée. Une inspection annuelle pour vérifier si vos rosiers respectent la directive pétale neutre.
La planète oui… mais vous, bof
Les nouvelles règles veulent que la nature soit “préservée” : pas d’interaction passionnelle, traditionnelle ou économique.
Traduction : plus de pêche avec un ver de terre (cruauté envers invertébrés), plus de balade à cheval (atteinte au bien-être équin), et plus de chauffage en hiver si votre thermostat ose descendre sous 10°C (atteinte au confort du climat).
Bref, l’écologie politique version XXL :
- La rivière derrière chez vous ? Zone protégée.
- Votre potager ? Pollueur suspect.
- Votre maison ? Un futur parc naturel… mais sans vous dedans.
Et si vous trouvez ça exagéré, souvenez-vous : il n’y a jamais eu besoin de vous prendre votre terrain pour vous en priver.
Conclusion : Ce n’est pas une transition écologique, c’est une confiscation douce. Et le plus ironique, c’est qu’au final, les seuls à avoir encore le droit de faire ce qu’ils veulent avec la nature… ce seront ceux qui écrivent les lois.