Pourquoi la Suisse donne envie de brûler sa fiche d’impôts française (et d’apprendre le yodel)

On dit que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs. Sauf si ce “ailleurs” s’appelle la Suisse, que votre banquier parle doucement et que votre taux marginal d’imposition ne vous colle pas des sueurs froides.
Bienvenue dans le pays où l’État ne vous prend pas pour un distributeur automatique de cash… et où personne n’a besoin d’inventer une “taxe exceptionnelle de solidarité nationale” tous les six mois.

Impôts en France : la douleur est dans les détails

Prenons un exemple simple. Vous investissez, vous réussissez, vous vendez, vous souriez. Erreur !
🎯 En France, le fisc vous regarde avec les yeux d’un ex jaloux :

  • 30 % de taxes sur vos plus-values.
  • 49 % si vous gagnez “trop” bien votre vie.
  • 17,2 % de prélèvements sociaux sur vos dividendes, actions, et autres vilains petits placements.
  • Jusqu’à 45 % de droits de succession si vous osez mourir en léguant quelque chose à vos enfants.

À ce stade, même Robin des Bois trouve que l’État exagère.

La Suisse : le cauchemar de Bercy

Et maintenant, traversons les Alpes.

🇨🇭 En Suisse, les plus-values ? 0 %.
L’impôt sur les sociétés ? Entre 10 et 19 %.
La TVA ? 8,1 %.
Les donations à vos enfants ? 0 %.
La succession ? Toujours 0 %.

Et pour les plus chanceux : le forfait fiscal, c’est-à-dire une taxation sur votre train de vie estimé, pas sur vos revenus réels. Autrement dit : si vous êtes riche mais discret, l’État suisse vous laisse en paix.

En France, on appelle ça de l’évasion. En Suisse, on appelle ça une politique fiscale intelligente.

Mais pourquoi c’est mieux géré, bordel ?

Parce que :

  • Ils ont une monnaie stable, gérée par des gens qui n’ont pas fait l’ENA.
  • Une démocratie directe, où les citoyens votent sur des sujets concrets, pas sur des slogans creux.
  • Un budget équilibré, pas un déficit chronique que même les cigales trouvent abusif.
  • Et surtout… un respect de la richesse, pas une chasse permanente à l’entrepreneur ou au rentier.

Pendant que la France transforme ses talents en exilés fiscaux, la Suisse leur déroule le tapis rouge et leur sert un chocolat chaud.
Avec un petit biscuit, fiscalement neutre, bien sûr.

L’herbe est-elle plus verte ? Oui, et elle est arrosée par vos impôts français.

Alors que la France punit le succès, taxe la sueur et méprise l’épargne, la Suisse récompense la responsabilité, encourage l’investissement, et surtout : ne vous infantilise pas.

Pas de redressement inventé en rétroactif. Pas de nouveau prélèvement automatique pour “sauver la planète, les retraites ou le ministère de la Culture”.
Juste un pays où l’on ne considère pas l’honnêteté comme un piège fiscal.

Et vous, vous partez quand ?

À force de lire les taux suisses, certains envisagent l’expatriation comme un plan de retraite.
Mais si la fiscalité française continue de ressembler à un racket de haut vol, 2028-2029 pourrait bien devenir l’année de l’émigration fiscale de masse.
À moins qu’on vous mette une taxe dessus d’ici là.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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