Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

L’euthanasie version Macron : mourir dans la dignité… ou dans l’ambiguïté législative ?

Ah, la fameuse loi sur la fin de vie, aussi discrète qu’un corbillard électrique roulant à 20 km/h sur les pavés du Sénat. On croyait le dossier enterré depuis mai, mais non : il revient hanter les débats comme un fantôme administratif avec son parapheur à la main.
Et pendant que le budget 2026 occupe tous les vivants, Olivier Falorni, lui, demande un référendum sur la mort. Rien que ça.
Avouez que ça aurait de la gueule sur les bulletins de vote :

☑️ « Oui, je veux mourir légalement »
☑️ « Non, laissez-moi souffrir un peu plus, c’est la tradition »

Quand les soignants disent : « Je refuse d’être un bourreau »

C’est là qu’entre en scène Éric Mercier, infirmier, formateur en soins palliatifs et, surtout, l’un des rares à encore croire que soigner ne veut pas dire tuer proprement avec une seringue stérile.
Son cri du cœur :

« Je refuse d’être le bourreau. »
Phrase choc, mais visiblement inaudible pour les 305 députés qui ont voté le texte en mai dernier, trop occupés à vérifier si l’euthanasie était bien encadrée par le Code pénal, article 122-4. Oui oui, celui qui pourrait transformer un soignant en criminel légalement mandaté.

Falorni parle d’indécence et de sabotage ? Non, monsieur, c’est bien plus que ça. C’est une glissade législative sur un terrain moral boueux, où la frontière entre compassion et utilitarisme devient floue comme un décret mal imprimé au Journal Officiel.

Article 4 : quand la « qualité de vie » devient une variable à euthanasier

C’est là que tout dérape.
Le texte ouvre la porte à l’euthanasie pour toute personne atteinte d’une maladie grave et incurable affectant sa qualité de vie… ou en phase terminale.
Le ou fait toute la différence.
Parce que soudain, ne sont plus concernés uniquement les mourants, mais aussi les millions de Français souffrant d’une maladie chronique.
35 millions de pathologies listées, soit entre 7 et 17 millions de personnes potentiellement éligibles à une petite piqûre d’État.

Un diabétique fatigué ?
Un vieil asthmatique dont les poumons sifflent trop fort ?
Un grand-père qui n’a plus de mollet mais encore du cœur ?
Hop, proposition d’euthanasie !
C’est beau, la médecine moderne : on soigne moins, mais on abrège mieux.

Article 9 : pleurez en silence, s’il vous plaît

Et parce qu’on n’arrête jamais le progrès, l’article 9 prévoit que le médecin ou l’infirmier devra vérifier que le patient ne subit aucune pression
Autrement dit, il faudra demander aux proches de sangloter discrètement pendant qu’on injecte la dose létale.
Un silence religieux dans une chambre blanche, pendant que le soignant coche les cases :

  • patient consentant ? ✅
  • famille muette ? ✅
  • seringue prête ? ✅
    La mort administrée, version checklist hospitalière.

Et gare à celui qui refusera : la clause de conscience s’évapore comme l’éthique au soleil de l’Élysée. Le soignant récalcitrant devra déléguer à un collègue plus docile, histoire de ne pas bloquer la chaîne logistique du trépas.

Mourir dans la dignité ou survivre dans le déni ?

Éric Mercier le dit avec justesse : tuer n’a jamais été un soin.
Mais dans la France de 2025, où l’on légifère sur tout — du compost obligatoire au non-genre — il fallait bien finir par réguler aussi la mort.
Le problème, c’est qu’à force de tout « encadrer », on finit par déshumaniser.
Et le jour où l’on trouvera que vivre vieux coûte trop cher, certains articles de loi risquent de devenir terriblement pratiques.

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