Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Europe : empreintes, photo, et patience — bienvenue dans le nouveau grand fichage touristique made in UE !

Ah, l’Europe ! Ce vieux continent qui adorait tamponner les passeports avec un petit “Welcome” folklorique, et qui décide maintenant de vous accueillir avec un scanner à empreintes digne du FBI et un selfie obligatoire à la douane. À partir du 12 octobre, fini les tampons old school : place à la biométrie obligatoire pour tout voyageur non-européen. Oui, votre arrivée en Europe sera désormais un mix entre “Bienvenue à Disneyland” et “Bienvenue au commissariat”. (source : Sud-Ouest)

Le tampon, c’est ringard : place au flicage digital

C’est beau, la modernité. L’Union européenne remplace le tampon manuel — ce petit geste nostalgique qui sentait bon les vacances — par un enregistrement complet de votre visage et de vos dix doigts. Objectif officiel : “fluidifier les contrôles”. Traduction : vous faire patienter poliment pendant qu’un logiciel compare votre tête à une base de données digne de la CIA.

Le tout pour, paraît-il, prévenir la migration irrégulière. Oui, car tout touriste qui vient dépenser ses économies à Paris ou Barcelone est évidemment un potentiel clandestin en puissance. On ne sait jamais, un Américain égaré pourrait vouloir s’infiltrer dans un kebab.

L’Europe, ce grand parc d’attraction à empreintes

Bonne nouvelle pour les voyageurs non-européens : vos empreintes et votre photo seront stockées pendant trois ans. Eh oui, l’Europe, c’est comme un club VIP : une fois inscrit, vous ne partez plus.
Et si vous rêviez de passer un jour la frontière sans vous faire scanner comme un bagage suspect, désolée — même la Suisse et la Norvège s’y mettent.

Mais rassurez-vous : la France et l’Allemagne promettent une “situation normale”. Traduction : des files d’attente dignes d’un concert de Beyoncé, des bornes en panne et des agents débordés expliquant que “ça ira plus vite la prochaine fois”.

Eurostar, Eurotunnel… et Euro-selfie

Les Britanniques aussi auront droit à leur petit moment de gloire. Après avoir quitté l’UE pour “retrouver leur souveraineté”, ils devront désormais se prendre en photo et donner leurs empreintes avant d’entrer dans le continent qu’ils ont fui. Le Brexit, version biométrique.

Les compagnies Eurostar et Eurotunnel assurent être prêtes : bornes installées, procédures rodées… jusqu’à ce qu’un serveur tombe en panne et qu’un millier de voyageurs coincés à St Pancras hurlent “Bloody hell!” en chœur.

L’Europe sécurisée : bientôt, un permis pour respirer

Parce que la bureaucratie européenne, c’est une série sans fin, l’étape suivante arrivera en 2026 : l’ETIAS. Une autorisation de voyage payante, comme l’ESTA américain. En gros, vous paierez pour le droit d’être fliqué plus efficacement.
Mais c’est pour votre sécurité, voyons. Vous êtes libres, tant que vous êtes enregistrés, tracés, scannés et débité de quelques euros.

Et après ?

Peut-être qu’un jour, pour rentrer en Europe, il faudra simplement brancher une clé USB dans sa nuque pour télécharger son profil complet : empreintes, ADN, casier judiciaire et photo d’enfance. L’Union européenne, championne de la “transparence numérique”… mais pas pour ses dirigeants.

Alors souriez bien à la borne le 12 octobre. Ce n’est pas un contrôle, c’est une prise de contact intime avec Bruxelles.

🖋️ Madame-Raleuse.com — où la liberté d’aller et venir passe désormais par la reconnaissance faciale.

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