Bienvenue dans un monde où même les souris de laboratoire se font manipuler ! Sous couvert de rigueur scientifique, l’Institut Paul Ehrlich aurait fermé les yeux sur des tests faussés. Madame-Raleuse.com est là pour tout dévoiler, et croyez-moi, vous n’allez pas en revenir. Spoiler : ce n’est pas seulement une question de rongeurs…
Ah, l’Allemagne, pays de rigueur scientifique, de précision et de transparence… ou pas. Dernière révélation en date : l’avocat Tobias Ulbrich accuse l’Institut Paul Ehrlich (PEI) de manipulations dans les tests précliniques sur la toxicité de la fameuse protéine Spike. (source : Essentiel News) Vous savez, cette petite protéine qui fait tout le charme des vaccins contre le Covid-19. Alors, asseyez-vous, préparez-vous à une histoire digne des meilleurs scénarios hollywoodiens, où les souris de laboratoire deviennent des stars de la manipulation (sans leur consentement, bien sûr).
Souris mutantes ou souris bidons ?
Commençons par le cœur du scandale : le PEI aurait affirmé que des souris génétiquement modifiées, alias les fameuses huACE2, avaient été utilisées pour évaluer les risques liés à la protéine Spike. Ces souris, bien qu’improbablement devenues des célébrités dans le domaine scientifique, auraient un récepteur humain ACE2, ce qui les rend parfaites pour tester les effets du Covid-19 sur les humains. Enfin, ça c’est la version officielle.
Mais surprise ! Les documents montrent que les tests auraient été faits sur… des souris BULB/c. Oui, oui, de gentilles souris de labo classiques, sans récepteur humain ACE2. Pas vraiment adaptées pour jouer le rôle des humains dans ce test grandeur nature. Donc, si vous avez suivi, c’est un peu comme si on essayait de tester la toxicité du chocolat pour les chats sur des poissons rouges. Logique, non ?
« Houston, on a un problème de souris »
Alors pourquoi ce petit échange de souris ? Oh, rien de bien méchant, juste un léger oubli volontairement caché sous le tapis. L’explication est simple, vraiment : BioNTech a soumis des études animales avec les mauvaises souris, mais refaire les tests aurait pris trop de temps. Et comme on le sait tous, le Covid-19 n’a pas attendu, donc hop, on bidouille un peu, on ferme les yeux et on croise les doigts pour que personne ne s’en rende compte.
Mais attendez, ce n’est pas tout ! Selon Ulbrich, le PEI aurait publié des articles scientifiques où ces pauvres souris normales sont miraculeusement transformées en souris transgéniques huACE2. Eh oui, dans le monde merveilleux de la science, tout est possible. Avec un peu de magie scientifique et beaucoup de pression politique (bonjour, ministère de la Santé), on peut créer des souris qui n’ont jamais existé !
La toxicité de la Spike ? Jamais vue, jamais sue !
Et comme par magie, aucun signe de toxicité de la protéine Spike n’a été détecté. Pourquoi ? Parce que, évidemment, les souris utilisées n’étaient pas capables de montrer quoi que ce soit. Mais chut, ne le dites à personne, c’est un secret bien gardé. Le PEI a réussi à transformer un échec total en une réussite éclatante, tout ça grâce à un coup de baguette scientifique. On applaudit !
Silence radio du PEI, mais tout va bien
Et maintenant ? Eh bien, on attend toujours une réponse du PEI. Mais ne retenez pas votre souffle, car il est peu probable qu’ils sortent de leur silence. Après tout, avouer une fraude scientifique, c’est un peu comme avouer que vous avez triché au Monopoly : ça ne se fait pas. Et puis, entre nous, qui irait fouiller dans ces rapports confidentiels, qui ne seront pas rendus publics avant… 75 ans ? À ce moment-là, on espère que la protéine Spike sera un lointain souvenir, et que les souris auront enfin trouvé un rôle à leur hauteur.
En attendant, la manipulation continue, et les souris, elles, restent bien tranquilles dans leurs cages, en attendant la prochaine expérimentation… ou le prochain scandale.
Citation de Madame-Raleuse.com
Des souris normales pour des résultats truqués, bienvenue dans la science à la carte !
Exprimez-vous !
Que pensez-vous de ces manipulations dans les tests de vaccins ? Croyez-vous encore à la transparence des autorités scientifiques ? Partagez votre opinion en commentaire, votre voix compte !
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