Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Quand même Gérard Larcher lâche Macron : le “budget 2025 invotable” qui sent la fin de règne

Il y a des signes qui ne trompent pas.
Quand même Gérard Larcher, pilier du “ni vague ni colère”, commence à lâcher Emmanuel Macron en direct, c’est qu’on arrive à la fin du bal.

Sur CNews, le président du Sénat a lâché la formule :

“Un tel budget est strictement invotable pour ceux qui se réclament des valeurs libérales.”

Avant d’enchaîner en pointant “la responsabilité immense” du président de la République“il a décidé seul, sans consultation, de dissoudre l’Assemblée”.
Traduction : Macron a foutu le feu, et maintenant tout le monde cherche la sortie de secours.

Les rats quittent le palais

On avait déjà vu les députés Renaissance se planquer pendant les débats.
Mais là, c’est le président du Sénat qui balance :

“Le président de la République est le premier responsable de la situation dans laquelle nous sommes.”

Autrement dit, Larcher dit tout haut ce que même les macronistes chuchotent à la machine à café : le chef n’a plus de gouvernail, juste un ego qui flotte.
Et soudain, la droite sénatoriale, d’habitude si polie, retrouve des accents de résistance budgétaire.

Bon, ne rêvons pas : ils ne voteront rien, par peur de “la censure”. Mais politiquement, c’est clair : Macron est seul, même ses faux amis le désignent du doigt.

Un “budget invotable”, mais toujours voté

Le problème, c’est que tout le monde traite le budget d’“invotable”…
et que tout le monde finit par le laisser passer.
Parce que censurer, ce serait déclencher une dissolution. Et une dissolution, c’est comme un redémarrage d’usine à gaz : tout le monde craint l’explosion.

Alors, Larcher sermonne, soupire, et conclut avec son éternel ton paternel :

“La dissolution, c’est une dramaturgie.”

Oui Gérard, mais à ce stade, Macron ne dirige plus une République : il joue une tragédie grecque, et même le chœur du Sénat siffle la fin de la pièce.

Quand Gérard Larcher, symbole de la modération institutionnelle, se met à pointer Macron du doigt, c’est qu’à Paris, le parfum du quinquennat sent le sapin.
Budget invotable ? Peut-être.
Mais surtout, président isolé.

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