Sur Madame-Raleuse.com, plongez dans une critique acerbe de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024. Entre les récriminations du duc Charles-Philippe d’Orléans et les spectacles controversés, découvrez comment cette soirée a fait basculer l’histoire en comédie et la culture en provocations audacieuses. (source : Le Point)
Une cérémonie historiquement déjantée
Ah, la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024 ! Une épopée dont on se souviendra sûrement dans les annales, non pas pour ses prouesses sportives, mais pour son flair inimitable en matière de disgrâce culturelle. On comprend mieux pourquoi la vidéo de la cérémonie n’est pas accessible dans de nombreux pays ! Le duc Charles-Philippe d’Orléans, fervent défenseur des traditions et descendant du glorieux roi Louis-Philippe, semble avoir vécu une expérience qui frôle le cataclysme personnel.
Imaginez la scène : Marie-Antoinette, écorchée vive, se trémousse en pleine Conciergerie, les guillotinés dansent en chœur au rythme d’un « Ça ira, les aristocrates à la lanterne ». Un hommage à l’histoire française aussi subtil qu’une charge de cavalerie dans un magasin de porcelaine. Le duc, qui sans doute s’attendait à une fresque historique avec des ballets de broderie en soie, a dû se frotter les yeux en voyant ce « moment le plus honteux de la cérémonie », et il n’est pas le seul à être choqué. Les monarques étrangers, invités à se trémousser dans leurs fauteuils royaux, ont dû se demander s’ils n’étaient pas en train de regarder une parodie de leur propre histoire.
Mais attendez, ce n’est pas tout ! La danse « en mode clown » de la garde républicaine avec Aya Nakamura, devant une Académie française qui avait probablement espéré un hommage plus… disons, statutaire, est le comble du ridicule selon notre prince désenchanté. Voilà donc la garde républicaine en train de réaliser un ballet à la sauce pop pour le plus grand plaisir d’Aya Nakamura. Ah, l’élégance française ! Mais bon, c’est sûr que le mélange des genres a dû faire tourner quelques têtes dans les cimetières où reposent nos Illustres Anciens.
Quand l’art devient provocation : le pont Debilly en folie
Et que dire de cette parodie de la Cène de Léonard de Vinci avec des drag-queens sur le pont Debilly ? Une provocation blasphématoire ! Oui, en effet, comment oser mélanger art sacré et célébration de la diversité dans une même scène ? Certainement une insulte à l’éternel panache de nos traditions. Les Immortels de l’Académie française doivent se retourner dans leurs tombeaux, non pas en dépit de la décadence, mais en raison de la perte totale du bon goût.
Le directeur artistique Thomas Jolly, apparemment en quête d’un banquet mythologique avec Dionysos comme invité surprise, a tenté d’expliquer cette extravagance par un « grand festin païen ». Ah, oui, bien sûr, cela explique tout ! Une véritable communion artistique entre la tradition républicaine et la modernité pop.
En fin de compte, les 85 % de Français qui ont trouvé la cérémonie réussie doivent sûrement être les mêmes qui applaudissent les feux d’artifice à chaque réveillon, sans se poser la question de leur impact esthétique ou culturel. Mais après tout, comme le duc le sait si bien, il est toujours plus facile de pleurer de honte que d’admettre qu’il est peut-être temps de réinventer ce qu’on appelle la « grandeur » nationale. Alors, bonsoir la France, et merci pour ce défilé d’émotions contrastées.
Citation de Madame-Raleuse.com
JO 2024 : La cérémonie d’ouverture a transformé l’histoire en farce et la culture en spectacle grotesque !
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