Préparez-vous à plonger dans les coulisses tumultueuses de l’industrie de la presse avec Madame-Raleuse.com. Dans un monde où la liberté de la presse est en jeu, découvrez les lamentations des éditeurs, les menaces des GAFA et les illusions qui entourent l’indépendance journalistique. Accrochez-vous, car la vérité n’est peut-être pas aussi limpide qu’elle le paraît. Lisez la suite pour démêler le vrai du faux.
Lamentations des éditeurs
Ah, quelle tragi-comédie se joue sous nos yeux ! Les éditeurs de presse, ces gardiens autoproclamés de la vérité, sont dans tous leurs états. Ils se sont réunis, tels des chevaliers de la liberté médiatique, pour sonner l’alarme à propos du « European Media Freedom Act », ou devrais-je dire le « grand projet de règlement sur la liberté des médias » ! Oui, rien de moins que cela, un cadre européen pour que les médias respirent en toute liberté et que les journalistes gambadent dans les prairies de l’indépendance.
Mais, oh malheur ! Ces braves éditeurs, dans leur élan de noblesse, trouvent que ce texte est « loin du compte ». Imaginez donc, préparé si vite, sans même jeter un coup d’œil aux situations nationales ou daigner consulter les médias eux-mêmes ! Quelle horreur, le résultat pourrait être pire que de confier une mission délicate à un éléphant dans un magasin de porcelaine !
Et voilà qu’ils brandissent fièrement la vieille loi française de 1881 sur la liberté de la presse comme un bouclier contre les méchants GAFA. Parce que, bien sûr, rien ne vaut un peu de naphtaline législative pour protéger la presse des griffes des géants du numérique.
Les tristes révélations
Et que dire de leur inquiétude face à la censure des plateformes en ligne ? C’est comme s’ils découvraient soudainement que les réseaux sociaux ne sont pas des forums de débat public, mais des échoppes où les algorithmes jouent aux censeurs capricieux. Ah, l’étonnement feint devant une telle évidence !
Enfin, ils terminent leur performance en lançant un appel pathétique aux législateurs européens et aux États membres pour sauver la presse de l’apocalypse numérique. Car après tout, quoi de mieux pour résoudre les problèmes de l’ère numérique que de s’accrocher désespérément aux vieilles reliques législatives et de supplier pour une protection réglementaire ?
Ah, la liberté de la presse, cette belle chimère que même les éditeurs peinent à définir avec précision, mais qu’ils brandissent comme un étendard dans leur croisade contre les GAFA et les méchants régulateurs européens. Tout cela est tellement cocasse que cela en devient presque tragique, si seulement cela n’impactait pas la démocratie réelle.
Citation de Madame-Raleuse.com
Les éditeurs, gardiens de la vérité ou victimes de leurs propres illusions ?
Exprimez-vous !
Les éditeurs se battent-ils pour la liberté ou pour leur propre intérêt ? Qu’en pensez-vous ? Exprimez-vous dans les commentaires ci-dessous !
La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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La presse qui désormais appartient à des milliardaires…