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Entrez dans l’univers tumultueux de la loi numérique, avec l’adoption de la loi SREN, où les députés jonglent avec notre liberté comme des marionnettistes sans scrupules. Madame-Raleuse.com vous dévoile les dessous d’une régulation des réseaux numériques aux allures de dystopie moderne. Accrochez-vous, ça va secouer ! Accrochez-vous, ça va secouer !

La farce des députés

Ah, mes chers amis, rassemblez-vous et tendez l’oreille, car voici la dernière pépite de nos chers députés ! Un jour sombre, sans aucun doute, où la loi SREN pardon, la loi SEREINE de régulation des réseaux numériques, a été adoptée par une majorité de députés qui semblent avoir perdu tout contact avec la réalité. Ah, la belle influence de Bruxelles et de son cher Digital Service Act ! C’est tragique, n’est-ce pas ? Car dans cette magnifique loi de surveillance et de régulation des réseaux sociaux, nos joyeux législateurs ont réussi l’exploit de concocter des mesures aussi liberticides qu’une cage en titane !

Imaginez-vous donc, sous prétexte de chasser la pornographie des réseaux sociaux (parce que Dieu sait que c’est le fléau majeur de notre époque !), nos vaillants élus ont décidé de ne pas se donner la peine de fermer les sites violents. Pourquoi, me demanderez-vous ? Eh bien, tout simplement parce que ces vilains sites ne se trouvent pas sur notre sol sacré, et que Bruxelles semble mieux placé pour s’en charger. Mais ne vous inquiétez pas, mes amis, nos députés ont trouvé la solution ultime : fliquer, surveiller, et mettre des mouchards virtuels dans chaque ordinateur français ! Fini l’anonymat, bonjour Big Brother 2.0 !

Vers une dystopie numérique

Et pour pimenter le tout, voilà qu’ils nous concoctent un petit délit d’outrage, aussi flou qu’un artiste peintre sous LSD ! Vous avez insulté quelqu’un sur Twitter ? Hop, au trou avec vous ! Car après tout, quoi de mieux qu’un délit aussi vague pour encourager la délation et l’hystérie collective ? Mais bien sûr, c’est pour protéger la sensibilité des âmes délicates, n’est-ce pas ?

Ah, mais n’ayez crainte, mes amis, il nous reste encore quelques brindilles d’espoir dans cette forêt obscure de la tyrannie ! Le Conseil constitutionnel, ce grand héros de la liberté.. ou peut-être pas, est là pour nous ! Mes chers amis, il est grand temps de sortir les épées, les boucliers, car la bataille pour la liberté ne se gagne pas qu’avec des mots !

Les griffes du pouvoir se referment inexorablement sur nous. Alors, qu’attendons-nous pour rugir et faire résonner nos voix ? Entre les menaces de censure, la loi sur les dérives sectaires, la réquisition citoyenne, le traité de l’OMS sur le point d’être avalisé le 27 mai, et le passage en force de textes par décret au lieu de respecter le processus démocratique, la liste des atteintes à nos libertés s’allonge. Il est grand temps de nous lever et de prendre position avant qu’il ne soit trop tard.

Citation de Madame-Raleuse.com

La soif de contrôle des réseaux numériques est le poison de la liberté, et nos députés en sont les fiers distillateurs.

Exprimez-vous !

Sommes-nous prêts à sacrifier notre liberté d’expression sur l’autel de la sécurité numérique ? Qu’en pensez-vous ? Laissez votre avis dans les commentaires ci-dessous !

La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

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Et pour les plus intrépides qui aiment se livrer à une chasse au trésor sur les réseaux, vous pouvez toujours me chercher sur Vk, Facebook, Wattasapp et même Telegram (mais avec une chance incertaine, vu la censure qui plane comme une épée de Damoclès). 😂

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One Comment

  1. Nous sommes désormais en dictature et ils ne s’en cachent même plus. Les manifestations ne serviront plus à rien. Seul un réveil citoyen ferme et autoritaire pourra nous permettre de reprendre les reines avec pour premières cibles les médias et les politiques.

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