Plongez au cœur d’une crise silencieuse – la fin progressive des remboursement de la kinésithérapie ! Tandis que la demande de soins kinésithérapiques augmente, l’offre diminue. Madame-Raleuse.com explore les raisons derrière cette réduction d’activités et ses implications pour les patients. (source : Le Figaro)
La course aux Kinés
Ah, la vie de kinésithérapeute en France ! Un métier tellement gratifiant et lucratif que tout le monde se bouscule pour y entrer, non ? Bien sûr que non, enfin selon eux ! Voyons, c’est un paradis de stress et de soucis financiers !
Imaginez : vous avez passé des années à vous former, à vous ruiner en équipement, et pourtant, vos revenus stagnent comme un caillou sur un chemin boueux. Pendant ce temps, les patients font la queue pour des soins de plus en plus rares, comme s’ils attendaient l’ouverture des soldes chez Gucci.
Et pourtant, les raisons de ce marasme sont limpides comme de l’eau de pluie dans la Seine un jour de crue. Les honoraires ? Ha ! Peanuts. 16 euros pour une demi-heure de massage salvateur.. heu je dirais plus 30 minutes à devoir pédaler face à un autre patient avec des éléctrodes !
La quête de survie
Oh, et parlons-en des dépassements d’honoraires ! Un vrai trésor national, ces petits suppléments pour un service qui devrait être un droit... Mais bon, si vous voulez éviter que votre kiné vous facture le sourire en plus, il va falloir sortir le portefeuille. On n’est plus à une augmentation près, de toute façon, ça fait belle lurette que le SMIC s’est envolé dans le ciel des aspirations professionnelles.
Et les soins non remboursés ? Ah, là on atteint des sommets ! Ostéopathie, massages, yoga, pilates… tout y passe, tant que ça fait rentrer la monnaie… les Kinés de plus en plus se réorientent, autant aller là où l’argent coule à flot et où le prix des soins n’est pas dicté par la sécurité sociale ! Les patients ? Ils peuvent bien s’endetter pour un peu de bien-être, tant que le kiné peut s’acheter ses croissants bio chaque matin.
Et pourquoi leur en vouloir ? Après tout, nos politiciens ne font-ils pas la même chose : chercher à maximiser leurs profits, peu importe les conséquences pour les citoyens ? Ces pauvres kinésithérapeutes, obligés de cumuler deux emplois pour joindre les deux bouts, préfèrent compter leurs euros plutôt que leurs moutons pour s’endormir.
Bref, un métier en voie de disparition, comme les dinosaures ou les disques vinyles. Mais bon, tant que ça rapporte, on s’accroche à notre table de massage comme à une bouée de sauvetage.
Citation de Madame-Raleuse.com
Se soigner en France devient un luxe réservé aux mieux lotis !
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Dans ce monde où l’argent prime sur l’offre de soins, pensez-vous que c’est justifier que les kinés proposent de plus en plus de soins hors nomenclature ? Partagez votre opinion dans les commentaires !
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