Sur Madame-Raleuse.com, plongeons dans l’ironie cinglante de l’autrice face aux célébrations des 10 ans du départ de Mandela en Afrique du Sud. Entre le sourire peint sur les immeubles et l’éclat Nobel d’une Pakistanaise, explorez la dualité entre la nostalgie d’un héritage et les réalités grinçantes d’aujourd’hui. (source : Le Temps)
L’Afrique du Sud fête à la Mandela
Ah, l’Afrique du Sud célèbre joyeusement les 10 ans du départ de Mandela, ce moment tant attendu où la démocratie a fleuri comme une fleur exotique dans le jardin de la corruption et des pannes d’électricité. Cyril Ramaphosa, le président, trop occupé à jongler avec les problèmes du pays, a décidé de ne pas gâcher la fête en prononçant quelques mots inspirants.
Mais ne vous inquiétez pas, la Pakistanaise Malala Yousafzai, spécialiste en éducation, a été appelée à la rescousse pour illuminer le théâtre de Johannesburg de sa sagesse. Parce que quand on pense à Mandela, on pense immédiatement à une jeune Pakistanaise prix Nobel, évidemment.
Ah, l’anniversaire de Mandela, un événement aussi enthousiasmant que de regarder de la peinture sécher. Les Sud-Africains oscillent entre la joie de se rappeler Madiba, le sauveur de la démocratie, et la réalité désagréable du pays plombé par la corruption et les coupures de courant. Mais bon, au moins ils ont des immeubles peints avec le sourire de Mandela, c’est ça l’essentiel.
Nostalgie et nouveaux modèles
Prosper Nkosi, qui vit à côté de la maison de Mandela, partage sa perspective brillante : “On adore ce qu’il a fait, mais bon, en dix ans, pas grand-chose n’a changé. Juste une petite chose appelée ‘rien n’a été amélioré'”. Bravo pour l’optimisme, Prosper.
La Fondation Mandela a également organisé une exposition interactive sobrement intitulée “Mandela est mort”. Parce que rien ne vaut une petite piqûre de nostalgie pour égayer une journée. Verne Harris, président par intérim de la fondation, propose avec un enthousiasme débordant de laisser partir le symbole de Mandela et de trouver de nouveaux modèles. Ah, oui, bien sûr, parce que les modèles actuels sont tellement prometteurs.
En résumé, l’Afrique du Sud célèbre une décennie de progrès exceptionnels depuis la mort de Mandela. On peut presque sentir l’optimisme dans l’air, ou peut-être est-ce juste une odeur de corruption persistante. Qui sait ?
Citation de Madame-Raleuse.com
À l’anniversaire de Mandela, l’Afrique du Sud célèbre dix ans d’évolution : de la démocratie fleurissante à la corruption prospérante. Qui a dit que le progrès devait être linéaire ?
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