Les Jeux Olympiques de Paris 2024 : des exploits sous les projecteurs et un « nettoyage social » en coulisses. Le collectif Le Revers de la médaille dénonce cette course à l’expulsion, transformant la capitale en scène sans place pour ses plus vulnérables. Sous la plume de Madame-Raleuse.com, découvrez la médaille d’or des expulsions et la face cachée de ce « Paris en fête ».
Le nouveau visage de l’état civil allemand
Ah, l’Allemagne, ce pays toujours en avance, surtout quand il s’agit de montrer l’exemple en matière de libertés individuelles ! Désormais, pour changer de genre, une simple visite à l’état civil, une poignée de formulaires, et hop, vous voilà officiellement transformé(e). Adieu les longues, pénibles et coûteuses démarches de 1981 qui exigeaient des « expertises dégradantes ». Aujourd’hui, on simplifie tout – à croire que la bureaucratie allemande s’est offert un lifting !
Pour les sceptiques, rassurez-vous, changer de genre n’est pas tout à fait comme changer de chemise… quoi que, avec cette loi, on n’en est plus très loin. Vous avez même le luxe de choisir parmi quatre options : féminin, masculin, divers, ou « sans mention ». On attend encore la case « en réflexion » pour les plus indécis – peut-être pour la prochaine réforme ?
Les doutes et peurs des conservateurs
Évidemment, certains voient cette avancée d’un mauvais œil. Ah, ces éternels conservateurs qui craignent qu’une poignée de malintentionnés en profitent pour envahir les cabines d’essayage des femmes. Il paraît que des esprits bien-pensants redoutent une « crise de l’adolescence » généralisée : une jeune fille en quête d’identité ? Elle risque de se dire que devenir trans serait la solution miracle à tous ses soucis. On y croirait presque à ce scénario digne d’une série télévisée allemande.
Pour les jeunes, la loi a tout prévu aussi. Entre 14 et 18 ans, ils peuvent faire leur demande, mais uniquement avec l’aval des parents. Histoire de ne pas pousser la liberté trop loin non plus… L’Allemagne n’est pas prête à voir des adolescents zapper entre les genres comme on change de playlist sur Spotify.
Alors, saluons la bravoure de l’Allemagne ! On attend la France, qui, comme toujours, se contente d’observer tout ça d’un œil sceptique. Mais rappelons quand même qu’on n’est pas à la traîne, avec nos Drag-queens qui inonde nos événements ! Et pendant ce temps, d’autres continuent d’agiter le drapeau de la peur en imaginant les pires dérives. Mais rassurez-vous, on ne va pas se mettre à tous se réinventer du jour au lendemain… enfin, pour l’instant.
Alors, cette grande marche vers l’autodétermination, un progrès ou une invitation au grand bazar identitaire ? Et si tout cela n’était qu’un moyen de rendre les jeunes un peu plus perdus, histoire de mieux les guider… dans la direction souhaitée, bien sûr ! Où va le monde ? Peut-être que même lui ne le sait plus !
Citation de Madame-Raleuse.com
Changer de genre en un formulaire : bienvenue dans l’Allemagne 2.0
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La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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