Olympiade de blasphème : La Cène, drag-queens et manipulation – Paris 2024 sous la loupe

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Bienvenue sur Madame-Raleuse.com ! Aujourd’hui, plongeons dans le chaos Olympique de Paris 2024 où la Cène s’est vue métamorphosée en un spectacle de drag-queens. Entre profanation et excuses, découvrez pourquoi cette cérémonie a déchaîné les passions et révélé un véritable fiasco culturel. Vous êtes prêts pour un décryptage sans concession ? Lisez la suite pour une analyse incisive de cette farce olympique ! (source : riposte Catholique)

Une Cène, des drag-queens, Et une cérémonie olympique de la discorde

Ah, les Jeux Olympiques de Paris 2024 ! Un véritable chef-d’œuvre de l’art contemporain et de l’humour involontaire, avec en toile de fond une cérémonie d’ouverture qui a captivé le monde entier – non pas pour son éclat sportif, mais pour son « hommage » singulier à la Cène. Mesdames et messieurs, place au grand spectacle : un défilé de drag-queens et une Marie-Antoinette en tête décapitée. Les téléspectateurs du monde entier ont assisté en direct à ce qui pourrait être qualifié de suicide culturel en Mondovision.

Le CIO, paré de la gloire de la diplomatie olympique, a donc jugé bon de présenter ses excuses. Oui, il semble que la profanation en direct n’était pas exactement ce qu’ils avaient en tête quand ils ont imaginé la cérémonie d’ouverture. Leur excuse ? Une tentative de « montrer de la tolérance et de la communion ». Mais nous savons tous que les meilleures intentions sont souvent celles qui se terminent par un fiasco monumental.

Philippe Katerine, le Picasso moderne de la nudité et de la peinture corporelle, a eu la bonne idée d’expliquer à CNN que la scène n’était pas une profanation mais plutôt un « malentendu sur la religion ». Ah, l’art ! Toujours prêt à nous rappeler que ce qui semble être une attaque contre la foi peut en réalité être un hommage à Dionysos, dieu du vin et des fêtes, et non à Léonard de Vinci. Peut-être aurait-il fallu une autre interprétation pour éviter ce qu’on pourrait appeler une « confusion divine ».

La presse, toujours aussi perspicace, a fait preuve d’une inventivité remarquable pour tenter de noyer le poisson. Le Monde, par exemple, a bravement publié un article intitulé : « quand les autorités catholiques confondent le banquet de Bacchus avec le dernier repas du Christ lors de la cérémonie d’ouverture ». Une brillante démonstration de la manière dont on peut transformer une crise en une leçon de confusion historique.

Excuses olympiques, manipulations médiatiques Et réactions mondiales

Les évêques italiens, dans leur sagesse non entachée par la démagogie moderne, ont jugé bon de dénoncer la parodie, décrivant la scène comme un « blasphème flagrant ». Oui, vous avez bien entendu. Le Christ transformé en femme obèse entourée de personnages queer – un « chef-d’œuvre » qui aurait fait rougir les préjugés les plus audacieux.

Les protestants chinois, eux, n’ont pas été en reste. Les communautés chrétiennes de Chine ont qualifié la cérémonie d’« extrêmement dégoûtante », en faisant un lien avec des réflexions profondes sur la culture traditionnelle et la dévotion religieuse. Les critiques ont fustigé une performance qui, au lieu de célébrer l’unité, a plutôt incité à la division et au mépris.

Bien sûr, pour ajouter une touche finale à ce chef-d’œuvre d’absurdité, un sondage Harris Interactive, avec une méthodologie aussi transparente qu’un écran de fumée, a révélé que 81% des Français trouvent la cérémonie « réussie ». Ce sondage en ligne, dont les détails sont aussi vagues qu’un nuage de fumée, a sans doute été conçu pour nous rappeler que la réalité peut être manipulée aussi facilement qu’une toile de maître.

En fin de compte, que nous dit tout cela ? Que les Jeux Olympiques de Paris 2024 ne se contentent pas d’être un festival sportif, mais se transforment en une célébration de la confusion et de la dérision. Quand les organisateurs se retrouvent pris dans leur propre jeu de faux-semblants et de manipulations, il est clair que la devise olympique – citius, altius, fortius – a pris un coup de vieux. Peut-être qu’à l’avenir, pour éviter d’autres drames culturels, il serait plus sage de réserver la créativité pour les performances et de laisser la foi tranquille. Après tout, certains spectacles sont mieux appréciés dans leur contexte approprié, loin des feux de la rampe.

Citation de Madame-Raleuse.com

Quand la Cène rencontre les drag-queens, la profanation devient la vedette du grand spectacle.

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