Vous ne le croirez pas chers lecteurs de Madame-Raleuse.com, mais l’heure a sonné, la répression et censure c’est pour demain. (source : Le Figaro) L’Union européenne se prépare à une attaque en règle contre les géants du net. Le grand jour est enfin arrivé, où le DSA (Digital Services Act) sera déployé pour faire plier Google, Facebook, X (anciennement connu sous le nom de Twitter) et même TikTok ! Ces mastodontes numériques devront soudainement se soucier des contenus illicites, sous peine de se retrouver avec des amendes plus lourdes que leur propre code source. Parce que vraiment, comment pourraient-ils résister à la puissance d’un règlement européen ?
L’approche est simple, comme bonjour : si c’est illégal dans la vraie vie, eh bien, ça doit l’être sur Internet aussi ! C’est logique, non? Et puis, tous ces experts s’accordent à dire que l’équilibre entre liberté d’expression et répression des méchants en ligne est un jeu d’enfant. Franchement, ça n’a pas du tout l’air d’une équation impossible à résoudre.
Des contraintes « gentilles » pour les grandes plateformes!
Attendez-vous à une petite révolution avec le DSA ! Les grandes plateformes vont être « gentiment » touchées… ou peut-être pas. En fait, elles ne seront pas vraiment responsables des contenus louches qu’elles hébergent, comme d’habitude. Mais voici le moment culminant : l’UE compte sur elles pour installer de supers systèmes de contrôle, après seulement dix ans de chaos en ligne. Ah, ces européens, toujours prompts à agir avec une rapidité étonnante !
Vous êtes prêts pour le meilleur ? Voici les « signaleurs de confiance » ! Des justiciers en ligne dans chaque coin du continent signaleront les contenus « illégaux », et bien sûr, ils auront un statut privilégié. Parce qu’après tout, qui a besoin de liberté d’expression quand on peut avoir des « signaleurs de confiance » décidant ce que nous devons voir et lire ? Ils ne nous laisseront sûrement pas tomber, pas vrai ?
Attendez, ce n’est pas tout ! Les plateformes marchandes auront aussi leur moment de gloire. Elles devront suivre les vendeurs et mettre fin aux fraudes en ligne. Et les algorithmes? Oui, eux aussi seront mis sous tutelle. Ils devront expliquer leur magie de recommandation et fournir des alternatives toutes simples et dépourvues de personnalité. La publicité sera également mise en laisse : exit le ciblage des mineurs et des données sensibles. Car qui a besoin de publicités pertinentes de nos jours, franchement ?
Bruxelles garde un œil vigilant sur tout ça !
Ah, et voici le clou du spectacle : des audits indépendants surveilleront tout cela, sous l’œil bienveillant de Bruxelles. Les amendes potentielles ? Rien de plus qu’un petit 6% du chiffre d’affaires mondial. Et tenez-vous bien, les récidivistes pourraient être bannis ! Oui, interdits d’Internet, comme si ça allait leur faire peur.
Donc, voilà où nous en sommes. L’Europe est prête à transformer Internet en un endroit où tout est bien régulé et surveillé par des « signaleurs de confiance ». Le DSA est la solution à tous nos problèmes – après tout, c’est tellement simple, pourquoi n’y avons-nous pas pensé plus tôt ?
Exprimez-vous !
N’est-il pas légitime de se demander si toutes ces nouvelles mesures régulatrices instaurées par le DSA ne risquent pas de restreindre la liberté individuelle et de la liberté d’expression ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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