Le fiasco du projet de loi sur l’immigration : L’appel enthousiaste à la dissolution politique

Politique
cirque généré par craiyon

Dans cet article de Madame-Raleuse.com, plongez des arcanes de la politique française, où le mot “dissolution” résonne comme un écho tumultueux après l’échec d’un projet de loi sur l’immigration. Entre appels passionnés, hésitations embarrassantes et suggestions farfelues, plongeons dans cet univers politique captivant où le sérieux côtoie l’absurde. Bienvenue dans un récit où la réalité politique se pare d’une touche d’humour et de sarcasme, invitant à la réflexion tout en suscitant le sourire.

L’appel enthousiaste à la dissolution

Ah, la dissolution, le mot magique qui fait frissonner les politiciens plus que le prospectus du dentiste dans la boîte aux lettres. Après le fiasco du projet de loi sur l’immigration de Gérald Darmanin, c’est devenu le sujet de conversation favori dans les couloirs de l’Assemblée nationale.

Jordan Bardella du Rassemblement national ne fait pas dans la subtilité, il veut la dissolution, point barre. Parce que, bien sûr, revenir au peuple, c’est comme retourner au supermarché pour échanger un produit défectueux. Et rien de tel qu’une petite dissolution pour réchauffer l’ambiance démocratique.

Mais attendez, il y a plus ! Olivier Marleix des Républicains, lui, semble plus frileux qu’un pingouin en short. “Retourner en campagne ? Moi ? Ah non, pas vraiment, mais bon, si on me demande poliment, je suis prêt, tu vois.” Quelle ferveur, quel enthousiasme !

Les hésitations et les drôles de propositions

À gauche, c’est le grand flou artistique. Jean-Luc Mélenchon, toujours prompt à lancer des idées dans l’arène politique, évoque la dissolution comme la “vraie solution”. Mais attention, Mathilde Panot de la France Insoumise tient à préciser qu’ils n’appellent pas spécialement à une dissolution. Non, non, ils sont juste prêts, au cas où Macron aurait soudainement envie d’une partie de démocratie.

Et que dire de la majorité présidentielle ? “Pas d’accord”, clament-ils en chœur. Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement, nous sort le grand classique du “les Français ont voté pour qu’on ne puisse pas décider seuls”. Ah, la démocratie, cette source intarissable de rires.

Pour prouver que tout va bien, la députée Maud Bregeon nous rappelle qu’ils ont réussi à passer une quarantaine de textes en un an et demi. Applaudissements, s’il vous plaît. “Le suffrage universel n’est pas honteux”, déclare-t-elle avec une assurance qui ferait pâlir un lion devant un miroir.

Chez Les Républicains, c’est le drame. Olivier Marleix n’en peut plus de cette menace de dissolution à tout bout de champ. Et pour lui, la solution, c’est peut-être de remettre en question le propre mandat du président. Ah, la politique, ce jeu où tout est possible, même l’impensable !

Citation de Madame-Raleuse.com

La dissolution : quand la politique devient un épisode de télé-réalité, avec des appels passionnés, des hésitations embarrassantes, et même une suggestion hilarante de remise en question de mandat. Bienvenue dans l’absurde démocratie !

Exprimez-vous !

Croyez-vous qu’une dissolution politique est réellement envisageable pour remédier à la crise actuelle ? Quels sont, selon vous, les impacts potentiels d’une telle décision sur la stabilité politique et la démocratie ? Partagez vos analyses et perspectives dans les commentaires.

(source : Huffpost)

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