Sur Madame-Raleuse.com, on ne mâche pas nos mots : bienvenue dans un monde où la « liberté de la presse » est gérée par des milliardaires et des politiciens bien coiffés. Vous pensiez que c’était mieux qu’en Russie ou en Chine ? Spoiler : c’est juste plus subtil. Découvrez comment l’info en France est devenue un jeu de pouvoir… et de gros sous.
La mainmise des milliardaires sur les médias
Ah, la liberté de la presse en France, ce doux mythe qu’on continue de nous vendre avec un ruban rouge bien serré, un peu comme un cadeau empoisonné sous le sapin. Si vous pensiez que seuls Poutine et Xi Jinping s’amusaient à tordre le cou à la liberté d’expression, détrompez-vous : ici, on fait pareil, mais avec une touche chic et subtile. Après tout, c’est bien plus classe quand ce sont des milliardaires parfumés au luxe et des politiciens bien peignés qui tirent les ficelles.
Entre Bernard Arnault, qui transforme les médias en vitrines de luxe (Les Échos, Le Parisien, Radio Classique) (source : Wikipedia), et Rodolphe Saadé, qui fait main basse sur BFM tout en lorgnant sur tout ce qui peut être acheté, La Tribune et La Provence (source : Wikipedia), on se demande : c’est quoi le prochain achat, Wikipédia ? Sans oublier l’incontournable Vincent Bolloré, alias « Monsieur 55 maisons d’édition » (source : Blast info) , propriétaire de Canal+, C8, CNews et Europe 1 (source : Cairn), qui pourrait bientôt breveter le terme « liberté sous contrôle ».
Arcom et AFP : gardiens de la neutralité ?
Et pour couronner le tout, l’Arcom (ex-CSA), cette grande gardienne de la neutralité, est dirigée par une brochette de proches du pouvoir – nommés par Macron, Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher (source : Public Sénat) Une indépendance si limpide qu’on se demande si elle ne serait pas sponsorisée par une marque de vodka. Mais le vrai clou du spectacle, c’est l’Agence France Presse (AFP) : un modèle d’équilibre où siègent des patrons de médias détenus par… surprise ! Les mêmes grands groupes qui contrôlent l’info (source : Cairn). Monopole ? Conflit d’intérêts ? On appelle ça une journée normale dans la République.
Alors, si vous croyiez que la censure, c’était « ailleurs », détrompez-vous : ici, c’est juste mieux marketé. Mais bon, on ne va pas pleurer, hein. On a toujours Netflix pour échapper à la réalité.
Citation de Madame-Raleuse.com
En France, la liberté d’expression n’est pas censurée, elle est privatisée.
Exprimez-vous !
Pensez-vous que nos médias sont encore indépendants, ou ne sont-ils que des vitrines pour milliardaires ? Donnez votre avis en commentaire !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Les pauvres gens achètent le journal, les riches et puissants achètent le rédacteur en Chef.
Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traitres n’est pas victime, Il est complice.