Bienvenue sur Madame-Raleuse.com ! Vous pensiez que la politique française était un labyrinthe de surprises ? Détrompez-vous : entre décisions attendues et rebondissements prévisibles, découvrez pourquoi le Conseil constitutionnel ne cesse de nous offrir un spectacle sans véritable suspense. Lisez la suite pour plonger dans l’absurdité politique que seule la France sait nous offrir. (source : BFMTV)
Le Conseil constitutionnel et la réélection de Braun-Pivet : une décision prévisible
Ah, la démocratie française ! Ce doux rêve devenu réalité où les rebondissements politiques ne cessent de nous surprendre… ou pas. On aurait pu croire que la réélection de Yaël Braun-Pivet à la présidence de l’Assemblée nationale aurait pu susciter une véritable révolution, surtout après le coup de théâtre avec le gouvernement démissionnaire de Gabriel Attal. Mais non, c’est en toute sérénité que le Conseil constitutionnel a rejeté les requêtes de la France Insoumise. Et franchement, qui pourrait être réellement surpris par cette décision ?
Ah, le Conseil constitutionnel, ce bastion de la rigueur et de la logique implacable, et même qui approuva le délit de “provocation à l’abstention de soins médicaux” qui nous rappelle avec une constance impressionnante pourquoi il est parfois plus amusant de regarder les fleurs pousser que de suivre ses délibérations. Dans un monde où la réalité dépasse souvent la fiction, la décision de nos Sages de rejeter les requêtes des Insoumis semble presque être le climax d’un film de série B, avec une touche d’ironie tragique.
Les requêtes des insoumis : un complot sans issue
Les Insoumis, apparemment déterminés à faire éclater la vérité comme une bulle de savon, avaient demandé au Conseil constitutionnel de se pencher sur la réélection de Braun-Pivet. Leur argument ? Les 17 députés membres du gouvernement démissionnaire n’auraient pas dû voter. Voilà une suggestion audacieuse ! Peut-être qu’en envoyant une lettre au Père Noël pour demander une législation plus claire, ils auraient eu plus de succès. Ou pas.
De leur côté, les écologistes ont tenté de se faufiler par la porte dérobée en lançant une Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC) au Conseil d’État. Une démarche inspirée, sans doute, mais qui, comme le montre la réponse jusqu’ici, semble aussi utile qu’un ventilateur dans un frigo.
En fin de compte, la loi organique de 1958 continue de régir le monde avec la grâce d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Elle stipule que le cumul des fonctions est acceptable si le gouvernement est démissionnaire dans un délai d’un mois. Simple, non ? Peut-être un peu trop simple pour les esprits en quête de justice à la MeToo, mais qui sommes-nous pour critiquer la beauté de la bureaucratie en action ?
Les sages de la Constitution, dans leur infinie sagesse, nous rappellent que les lois sont faites pour être interprétées, surtout lorsque cela arrange le système. Après tout, si le Conseil constitutionnel avait donné raison aux Insoumis, il aurait fallu se demander si les règles n’étaient pas faites pour être modifiées à chaque demande de contestation. Mais non, en l’absence de ces réformes audacieuses, nous restons bien ancrés dans un système où les surprises sont aussi rares qu’un poulet qui danse le tango.
Citation de Madame-Raleuse.com
La démocratie, c’est comme une vieille comédie : les rebondissements sont prévisibles, mais le public reste captivé.
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