eu contre lIA

Sur Madame-Raleuse.com, nous explorons comment l’UE a décidé de sauver le monde des chatbots et des spams avec une législation qui fait les gros titres. Lisez la suite pour découvrir comment Bruxelles a transformé l’IA en une affaire sérieuse… ou du moins, le prétend ! (source : Clubic)

Les IA à risque : l’UE lance son grand nettoyage

Ah, l’Union européenne, ce phare lumineux dans l’obscurité technologique ! Le 1er août 2024, elle a déployé ses ailes dorées pour sauver le monde de la terrible menace des intelligences artificielles. Parce que, soyons honnêtes, il fallait un cadre juridique européen pour nous protéger de… eh bien, des chatbots et des filtres anti-spam.

Tout le monde sait que les robots conversationnels comme ChatGPT sont les véritables dangers du XXIe siècle. Merci à l’UE, nous allons enfin savoir si un texte a été rédigé par un humain ou une IA, comme si cela allait changer quoi que ce soit à la qualité des blagues ou à la profondeur des analyses. Il faut surtout rappeler que nos chers gouvernements se remettent aux réponses de l’IA pour prendre des décisions, quand ce n’est pas McKinsey qui dirige !

Et n’oublions pas les IA à « risque élevé » qui devront se conformer à des obligations strictes. Oui, ces systèmes qui pourraient s’immiscer dans nos vies en contrôlant les frontières ou en surveillant la justice. Quelle chance nous avons de les voir se plier aux règles européennes. Au moins, quand ils décideront de prendre le contrôle du monde, ils le feront avec toute la bureaucratie nécessaire.

Des étiquettes et des bacs à sable : l’UE déploie ses armes decrètes

Les IA à « risque inacceptable », par contre, seront interdites. Imaginez la scène : des robots menaçants se promenant dans les rues européennes, mais pas de panique ! Grâce à cette législation, ils ne seront pas autorisés à faire leur apparition. Si un robot commence à envoyer des courriels non sollicités, il sera immédiatement banni de l’UE. Oui, il est désormais officiellement illégal d’être un spammeur robot.

Et pour les IA à « risque limité », telles que nos chers chatbots, il faudra qu’ils portent une étiquette spéciale. Une sorte de « je suis une machine » en gros caractères, pour que nous puissions enfin distinguer les réponses automatisées des véritables réflexions humaines. Parce que vraiment, qui peut vivre avec l’incertitude de savoir si c’est un humain ou une IA qui répond à ses messages ?

Avec ce cadre réglementaire impeccable, l’UE a mis en place un calendrier de mise en œuvre tellement détaillé qu’il ferait rougir un plan de bataille militaire. Les États membres auront deux ans pour s’assurer que les IA interdites sont bien écartées, comme si elles se baladaient encore dans les placards des bureaux européens. Et, bien sûr, les autorités devront se mettre au travail pour créer un bac à sable réglementaire, car rien ne dit « innovation » comme des jeux réglementaires. Mais bon soyons réalistes, bien sûr qu’il n’y aura aucun contrôle, sauf le contrôle des informations !

Bref, réjouissons-nous ! Grâce à l’UE, nous sommes enfin protégés des terribles dangers des IA qui risquaient de ruiner nos vies en étant… bien, des IA. Vive la réglementation, et que la paix des algorithmes soit sur nous !

Citation de Madame-Raleuse.com

Bruxelles contre les robots : la bataille pour un Internet sans spam commence !

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La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

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