Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Sous Macron, la France derrière des palissades : combien de fois les magasins ont dû se barricader ?

Voilà une image qui restera gravée dans la rétine collective : des avenues commerçantes transformées en Fort Knox, des vitrines recouvertes de planches en bois, des magasins barricadés comme en zone de guerre. Et pourtant, ce n’est pas Beyrouth, ni Caracas… c’est Paris, Lyon, Marseille, Lille. Bienvenue en Macronie, où chaque crise sociale se vit à coups de marteaux et de clous pour protéger la vitrine Zara du coin.

Le quinquennat du bois cloué

Entre les Gilets jaunes, les manifs retraites, les colères agricoles et les mobilisations contre un système qui n’est pas du choix des citoyens, les commerçants n’ont pas compté les heures passées à transformer leur boutique en bunker. Si on faisait un inventaire, ça donnerait un Guinness des barricades : plus de planches posées sur les vitrines françaises en huit ans de Macron que dans tout un western spaghetti.

La vitrine, symbole de la Macronie

La photo de Paris avant une manif, c’est devenu un cliché : Champs-Élysées vides, boutiques de luxe planquées derrière des palissades, comme si les sacs Vuitton craignaient autant le peuple que la pluie. Des dizaines de fois, les commerçants ont anticipé la casse en sacrifiant leur façade, preuve que le gouvernement a préféré gouverner à coups de matraques plutôt qu’à coups de dialogue.

Macron, président de la barricade

Ironie du sort : sous Macron, le peuple descend dans la rue pour défendre ses acquis sociaux, pendant que les boutiques défendent leurs mannequins en plastique. La barricade, symbole historique des révolutions françaises, est désormais recyclée en kit de protection pour Sephora.

Résultat : on retiendra de la Macronie une France sous clous, où le bois sur les vitrines aura souvent tenu lieu de thermomètre social. Plus les planches étaient nombreuses, plus le pouvoir tremblait.

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