Ah, l’Angleterre… le pays du fish and chips froid et des scénarios de pandémie réchauffés. En septembre, voilà qu’ils organisent une gigantesque répétition générale : 4 000 personnes mobilisées aux quatre coins du pays pour un « tabletop exercise » sur… une pandémie respiratoire. Oui, vous avez bien lu. Encore une. Comme si Netflix n’avait pas déjà assez de séries catastrophe.
Quand la pandémie devient un loisir national
Vous pensiez que les Anglais s’étaient lassés du COVID ? Raté. On ne parle pas ici de commémoration ou de mémoire collective, non. C’est un remake grandeur nature d’Event 201, l’exercice qui avait précédé l’arrivée du COVID comme par hasard. Coïncidence ? On vous laisse deviner.
Et puis franchement, 4 000 personnes pour simuler des éternuements collectifs, des files d’attente pour le vaccin et des ministres en panique devant PowerPoint… On croirait un festival sponsorisé par Pfizer, avec open-bar de masques et gel hydroalcoolique en prime.
Pas finis avec le scénario apocalyptique
Alors, rassurez-vous : si vous pensiez que le chapitre pandémie était clos, le Royaume-Uni vous rappelle gentiment que nous ne sommes pas « sortis des bois », comme ils disent. L’exercice va tester « la résilience face à une nouvelle crise ». Traduction : il faudra bien préparer les esprits pour le prochain épisode de la série Pandémie & Compagnie.
Et qui sait ? Peut-être qu’ils changeront juste le script : après le pangolin, pourquoi pas une chauve-souris vegan ou un moustique climato-compatible ? L’important, c’est que le spectacle continue et que l’opinion publique reste captive.
« Après le foot, la bière et la pluie, les Anglais ont trouvé un nouveau sport national : répéter la fin du monde. »
Alerte : Le Royaume-Uni se prépare à un exercice de pandémie, baptisé Pegasus !
— 1984 (@Dn641608671) September 7, 2025
Un test national sur la manière dont le pays gérerait une épidémie respiratoire à évolution rapide.🤡
Un simple exercice ..ou un test prémonitoire ?! pic.twitter.com/289ICcoJtQ