Sur Madame-Raleuse.com, découvrez le regard incisif de notre autrice sur la façon dont Macron s’autocongratule pour l’évidence, en inscrivant le droit à l’IVG dans la constitution. Est-ce une révolution politique ou une simple célébration tardive du bon sens ? Plongez dans cet article percutant pour une analyse mordante.
La révolution de l’évidence
Emmanuel Macron, ce génie de l’autofélicitation, a récemment fait preuve de son habileté à se congratuler avec un enthousiasme digne d’un gagnant de la loterie. Lors du 75e anniversaire de la Déclaration des droits de l’Homme, le président français a déclaré avec une modestie à toute épreuve que la France se félicitait elle-même pour montrer l’exemple en inscrivant dans sa constitution la liberté de la femme de recourir à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).
Ah, Macron, ce paragon de modestie et de retenue, qui n’hésite pas à se donner une petite tape dans le dos pour avoir accompli ce qui semblait être une évidence depuis des lustres. On peut presque imaginer la scène dans le bureau présidentiel : « Bravo Macron, tu es vraiment le premier à penser à ça, quelle découverte révolutionnaire ! »
Dans son discours, le chef de l’État a souligné l’importance symbolique et extrêmement forte de cette initiative. Parce que, bien sûr, inscrire dans la constitution quelque chose qui aurait dû y être depuis des décennies est le summum de l’innovation politique. « La France se félicite », a-t-il déclaré, comme si le pays venait de remporter une médaille d’or aux Jeux Olympiques de l’évidence.
On peut presque voir notre Président arborant une médaille imaginaire, entouré de fanfares et de confettis, s’autocongratulant pour avoir résolu un problème qui aurait dû être réglé bien avant qu’il ne prenne ses fonctions. « Qui aurait pensé que les femmes devraient avoir le droit de choisir ? C’est une révélation, vraiment », pourrait-il ajouter avec un sourire satisfait.
Le triomphe de l’évident
Macron annonce fièrement que ce projet de loi sera bientôt présenté au Conseil des ministres, et selon une source parlementaire, ce projet de loi a été planifié pour être discuté lors de la session de l’Assemblée nationale prévue le 24 janvier. Comme si c’était une nouvelle sensationnelle que personne n’aurait pu anticiper. Bravo, Macron, pour cette nouvelle extraordinaire : la France, en 2023, envisage d’accorder aux femmes le droit de choisir. Qui l’aurait cru ?
Alors, applaudissons tous Emmanuel Macron pour cette réalisation exceptionnelle, pour avoir fait progresser la France vers des sommets de clairvoyance politique que personne n’aurait osé rêver. Car, soyons honnêtes, rien n’égale la satisfaction personnelle de s’autocongratuler pour avoir accompli ce qui aurait dû être fait depuis une éternité. Vive la France, où même les évidences nécessitent une célébration grandiose !
Citation de Madame-Raleuse.com
Bravo Macron, illuminant le XXIe siècle en célébrant la ‘révolution’ de l’évidence. Qui aurait cru que les droits des femmes étaient une idée aussi novatrice en 2023 ? #AutofélicitationOlympique
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Quelle est votre opinion sur la manière dont les politiciens célèbrent des initiatives évidentes comme des exploits révolutionnaires ? Pensez-vous que l’autofélicitation de Macron pour l’inscription des droits des femmes dans la constitution est une avancée réelle ou une simple mise en scène politique ? Partagez vos réflexions dans les commentaires ci-dessous !
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