Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Marc Touati éjecté par sa banque et poursuivi par le fisc : bienvenue dans l’Hexagone orwellien

Un compte bancaire fermé sans justification, un compte pro et même ceux des enfants balayés d’un revers de main. C’est l’histoire hallucinante racontée par l’économiste Marc Touati. Client irréprochable depuis l’adolescence, jamais de découvert, jamais de crédit, et pourtant la grande banque française qui l’hébergeait depuis 15 ans lui a claqué la porte au nez. Motif ? Aucun. Et c’est légal.

Le nouveau sport national : fermer des comptes et ouvrir des contrôles

La suite est digne d’un sketch kafkaïen : après le grand ménage bancaire, place à la doublette de contrôles fiscaux, perso et pro. On croirait une blague, mais non : en France, « dire la vérité » est devenu un motif de suspicion. Ou, comme disait Orwell, « en temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire ».

Mais attention, pas pour tout le monde : les PME, les économistes un peu trop francs, eux, sont radiés ou étranglés. Pendant ce temps, les trafiquants et les voyous, eux, semblent prospérer en toute tranquillité. Cherchez l’erreur.

Une démocratie qui pratique le bâillon financier

Fermer les comptes d’un client sans explication, c’est déjà un abus. Mais quand cela devient un outil politique, on franchit un cap dangereux. Car dans cette France où le fisc tombe sur ceux qui dérangent et où les banques se transforment en juges moraux, le message est clair : « tais-toi ou paie l’addition ».

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