Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Récession, impôts, guerre : Marc Touati sonne l’alarme pendant que Bercy joue du pipeau et que la BCE conseille de planquer du cash à la maison

Madame-Raleuse vous sert le digest acide du moment : l’économie française est un manège en feu, on vous vend des tours gratuits, et à la fin c’est votre épargne qui brûle.

Acte I — Le décor : dette qui explose, gouvernement fantôme, impôts en embuscad

Dans sa vidéo, Marc Touati met les pieds dans le plat : dette publique qui décolle, déficit qui s’aggrave, gouvernement introuvable. On nous promet des « économies » qui pèsent moins qu’un ticket de métro et, magie fiscale, des impôts pour “tous”. Traduction : même la plante verte de l’open space va casquer.

  • Formation d’un gouvernement ? Chronométrée au sablier… vide.
  • Dépenses publiques ? Pas de régime sec : ça gonfle encore.
  • Déficit ? On nous vend 4,7 % comme un exploit… cap direct sur 6 % si la récession s’installe.

Bref, la France fait la planche… sur une houle de dettes.

Acte II — Stagflation en vue, chandelles interdites

Touati enfonce le clou : activités en berne, inflation qui repart, chômage en file d’attente. Le combo parfait : stagflation.
On veut vous faire avaler la « croissance technique » tirée par les stocks ? C’est comme repeindre une voiture sans moteur et appeler ça une Tesla.

Acte III — “Économie de guerre” : quand le storytelling sert de caisse enregistreuse

On réactive le lexique martial : économie de guerre, mobilisation de l’épargne, emprunts nationaux, taxe “exceptionnelle” (aussi temporaire que la CRDS). La BCE glisse même un conseil qui sent le sapin : gardez du cash à la maison. Tout va bien, dormez tranquilles, mais entre 70 et 100 € sous le matelas — au cas où la paix devienne “optionnelle”.

Ce que ça veut dire, concrètement :

  • Réquisitions, impôts, inflation dirigée ;
  • Contrôles de capitaux si la fuite commence ;
  • Votre épargne ? Une tirelire publique avec votre nom dessus.

Acte IV — L’or flambe, les illusions aussi

Pendant que les marchés font semblant d’aller bien, l’or enchaîne les records. Valeur refuge, oui ; signal de panique larvée, aussi. Les banques centrales des BRICS empilent le métal pendant qu’on vous vend l’Euro-numérique comme un bracelet brésilien. Le dollar soupire, le franc suisse fait la planche… mais sur l’eau, lui.

Acte V — Thérapie de choc (bienveillante), pas la tisane tiède

Touati déroule une feuille de route brutale mais lisible — le contraire d’un PDF PowerPoint ministériel :

  • Baisser les impôts (vraiment, pour tous), réduire les charges pour redonner du net ;
  • Cisaille dans les dépenses de fonctionnement (les fameuses usines à cases administratives) ;
  • Simplifier le code du travail et le code des impôts (des bottins, pas des codes) ;
  • Former, innover, exporter, créer des fonds de pension qui financent l’économie réelle et nos retraites.
    En attendant que Jupiter redescende de l’Olympe, les entreprises doivent se nicher, communiquer, survivre. Les salariés, eux, ne pas démissionner pour un mirage RH — demain sera plus sec que votre contrat.

Acte VI — Protéger l’épargne avant de la voir partir en fumée

Le kit de survie façon Touati (et Madame-Raleuse cosigne sans rougir) :

  • Prudence boursière, bulle chaude ;
  • Éviter la dette d’État (oui, même “sans risque”) ;
  • Gardez du cash (vous savez qui l’a dit),
  • Or & métaux précieux en ceinture de sécurité ;
  • Diversification monétaire (un œil sur USD et CHF) ;
  • Immobilier français : pas le couteau, pas la plaie ;
  • Comptes étrangers déclarés proprement (bonjour formulaire 3916), au cas où l’on visse les robinets.

Et pitié : méfiez-vous des arnaques qui utilisent son nom. Si “Marc T.” vous DM sur WhatsApp avec un tuyau crypto, c’est probablement un coyote en costard.

Final — Le bruit des bottes et le son du tiroir-caisse

On prépare les esprits à la peur et au prélèvement “patriotique”. Pendant ce temps, l’industrie cale, les taux peuvent gicler, l’immobilier dégonfle, les bourses tremblent, et la charge d’intérêts file vers 80–90 Md€ l’an.
Conclusion maison : pas de croissance durable sans ménages et entreprises solvables, pas de souveraineté sans dépense publique utile (et non obèse), pas de paix sociale avec la main dans les poches des épargnants.

Ici, on ne joue pas à la prophétie, on regarde le thermomètre : il affiche fièvre. Le remède ? Moins de texte, plus de ciseaux — et arrêter de prendre l’épargne pour une pompe à incendie.

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