Commençons cette année avec cette pépite ! Alors que François Bayrou évoquait avec gravité les décès des Mahorais, un rire résonne. Pas un rire discret ou nerveux, mais bien celui d’Elisabeth Borne, ministre de l’Éducation nationale, qui semble avoir oublié que la compassion fait aussi partie de l’uniforme ministériel. Ici, à Madame-Raleuse.com, on se demande sérieusement si ce gouvernement est une farce ou une tragédie… À vous de trancher !
Quand la décence passe à la trappe : Elisabeth Borne et les Mahorais
Parfois, on se demande si la politique est une affaire de compétence ou simplement un concours d’absurde mal assumé. Voilà qu’Élisabeth Borne, anciennement Première ministre (oui, elle excellait dans l’utilisation du 49.3 et la même qui a eu la légion d’honneur en 2024), fait encore parler d’elle. Cette fois, dans le rôle de ministre de l’Éducation nationale, elle s’illustre par une légèreté totalement déplacée face à une tragédie.
Lors d’une intervention de François Bayrou évoquant les décès des Mahorais, notre chère Élisabeth s’est fendue d’un sourire, voire d’un rire discret mais audible. Une attitude qui a glacé l’audience. Alors que Bayrou pesait ses mots, visiblement ému, pour souligner le drame humain qui frappe Mayotte, Borne, elle, semblait tout droit sortie d’un spectacle comique.
Une ministre, mais pour quoi faire ?
Rappelons que cette ancienne Première ministre a été maintenue dans un gouvernement qui semble aussi inspirant qu’un manuel de grammaire rédigé en 1802. Maintenant à la tête de l’Éducation nationale, elle est censée incarner la pédagogie et la dignité. Mais comment prétendre inculquer le respect ou l’empathie à des élèves quand on rit devant une tragédie nationale ?
Une indifférence qui choque
Là où certains voient une maladresse, d’autres dénoncent une preuve flagrante d’indifférence pour une population déjà marginalisée. Mayotte, département français souvent laissé pour compte, est en proie à des drames humanitaires depuis des années. Mais visiblement, dans les hautes sphères, ce genre de problème reste bon à mentionner uniquement pour cocher la case « solidarité ».
Qui a remis cette ministre à l’Éducation ?
La vraie question reste posée : comment cette femme, déjà contestée en tant que Première ministre, a-t-elle pu revenir avec un portefeuille aussi symbolique que celui de l’Éducation nationale ? La réponse semble se cacher dans l’insondable logique d’un gouvernement qui semble confondre CV et carte de fidélité.
Indignation populaire ou simple buzz ?
Bien sûr, ce genre de comportement ne passe pas inaperçu. Les réseaux sociaux s’enflamment, et la toile gronde :
- « Une ministre qui rit des morts ? Où va-t-on ? »
- « Si l’éducation c’est ça, alors vive l’ignorance. »
Alors queAlors que François Bayrou évoquait le décès des Mahorais, Élisabeth Borne est apparue derrière lui, en riant, indifférente aux victimes!!!
— Et La Fille (@Lidbdemocra_d) December 31, 2024
Qui a remis cette merde au gouvernement ?😑
Elle a été première ministre, là elle est ministre de l’éducation national et elle… pic.twitter.com/bvcrdo2SzM
Citation de Madame-Raleuse.com
Elisabeth borne dépasse les bornes à Mayotte
Exprimez-vous !
Une maladresse à excuser ou un mépris intolérable pour les victimes ? Peut-on tolérer une telle indifférence ? Que pensez-vous du retour de Borne au gouvernement ? ➡️ Exprimez votre indignation ou défendez-la en commentaire !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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