Bienvenue sur Madame-Raleuse.com, où l’on décortique les crises sanitaires avec une dose d’ironie mordante. Aujourd’hui, plongeons dans le cirque de la variole du singe, où la propagande semble jouer un rôle aussi crucial que le virus lui-même. Qui est concerné réellement ? Accrochez-vous, la vérité est parfois plus étrange que la fiction !
La variole du singe et le cirque de la propagande
Ah, la variole du singe ou communément appelé Mpox ! Ou comme on aime l’appeler dans les salons de discussion panicostiques, le Monkeypox. On dirait presque une série B où les vilains virus ont décidé de se faire une petite virée en Europe après un tour d’Afrique, histoire de nous rappeler que, non, la fin du monde n’était pas réservée aux spectacles de fin d’année mais bien à nos actualités quotidiennes.
Alors, la variole du singe, c’est quoi exactement ? Un virus qui se transmettrait par voie sexuelle ou cutanée ? C’est bien ça. On aurait presque envie de demander à la prochaine conférence de presse si le virus a aussi ses propres réseaux sociaux où il partage des selfies avec ses dernières victimes. Mais bon, le plus important est qu’il se transmet – accrochez-vous bien – entre humains maintenant. Et oui, de singe à homme, puis de l’homme à l’homme. Voilà la chaîne de transmission qui ferait pâlir d’envie n’importe quel produit viral de l’année, essentiellement dans la communauté gay, qui représente 5% de la population mondiale ! (source : Actu.fr)
Les chiffres, les conspirations et le comique de situation
Mais parlons chiffres. En 2022, il y avait 4 975 cas recensés. En 2023, on passe à 52. Et en 2024, jusqu’à présent, 107. Donc, on est en pleine escalade, ou alors les épidémies suivent le même plan marketing que les nouvelles saisons de Netflix : commencer fort, puis diminuer progressivement pour donner l’impression que tout est sous contrôle.
Et puis, la cerise sur le gâteau : la propagande ! Ah, la propagande. Le genre de publicité où l’on pourrait presque entendre les haut-parleurs crier que les 5 % d’homosexuels sont en fait des agents doubles du virus. Parce que oui, selon certains génies de la communication, la variole du singe serait le nouveau virus des ces 5 % de la population.
Et puis, il y a ce petit détail tellement charmant : la transmission par contact physique. Parce que vraiment, qui aurait pu imaginer qu’un virus pouvait se propager par les simples câlins ou une poignée de main ? Ce qui est encore plus rafraîchissant, c’est d’entendre les autorités parler de vigilance maximale. C’est un peu comme si on mettait des bandeaux lumineux autour d’un réverbère en disant : « Ne vous inquiétez pas, il n’est pas encore éteint ! ».
La logique serait alors de fermer les frontières, n’est-ce pas ? Parce qu’évidemment, une pandémie, c’est juste une question de géographie. Si les gens ne peuvent pas voyager, alors les virus ne peuvent pas non plus, et la variole du singe serait confiné à son zoo d’origine. Oui, comme durant le Covid-19, où fermer les frontières semblait être le plan miracle pour éradiquer un virus. Les frontières fermées et les virus disparus, ça devait marcher… non ?
En fin de compte, tout ceci pourrait presque être pris comme une mauvaise comédie : un virus devenu le cobaye des autorités, et nous, les spectateurs, attendons la fin de l’épisode avec une dose de sarcasme et un zeste d’humour. Parce qu’au fond, dans cette pièce théâtrale virale, on est tous en train de se demander si la prochaine saison apportera enfin un peu de bon sens.
Citation de Madame-Raleuse.com
Quand la variole du singe se met à jouer les vedettes de la panique, on se demande si le vrai virus n’est pas la propagande elle-même.
Exprimez-vous !
Pensez-vous que les campagnes de peur autour de la variole du singe sont justifiées ou que nous sommes en train de revivre un remake de la pandémie de Covid-19 ? Partagez vos réflexions en commentaire !
La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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