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Plongez dans l’effervescence des Jeux Olympiques de Paris 2024 avec une touche de contestation sociale ! Dans cette analyse acerbe, Madame-Raleuse.com vous dévoile les coulisses explosives des préavis de grève déposés par la CGT. Accrochez-vous, ça va secouer !

La CGT joue les trouble-fête pré-JO

Ah, quel timing impeccable ! Alors que Macron jongle avec l’idée d’une trêve olympique et que Tony Estanguet ” fait ses pitreries en demandant une trêve sociale, voilà que la CGT débarque sur son destrier noir pour faire entendre sa voix dans cette cacophonie pré-JO ! C’est comme si on avait mis le feu à un magasin de feux d’artifice et qu’on attendait patiemment que ça explose.

Imaginez la scène : la CGT dépose des préavis de grève pour la période des Jeux olympiques dans la fonction publique, juste au moment où tout le monde se prépare à célébrer la grand-messe sportive des Jeux olympiques. C’est comme apporter un parapluie à une bataille de pistolets à eau.

Ils ont leurs demandes, bien sûr. Recrutements pérennes, compensations salariales, droits aux congés… c’est un peu comme s’ils faisaient leur liste de courses, sauf qu’ils veulent que le gouvernement passe à la caisse.

Pendant ce temps-là, Tony Estanguet, le grand manitou des Jeux, rêve de cette fameuse trêve sociale, comme si les problèmes sociaux allaient disparaître d’un coup de baguette magique. Bonne chance avec ça, Tony ! C‘est un peu comme espérer qu’un ouragan s’arrête juste parce que vous avez fait une danse de la pluie.

Le gouvernement promet des primes, mais la fête est gâchée

Et pendant que certains tirent la sonnette d’alarme, d’autres jouent les pacificateurs. La CFDT et l’UNSA, armés de leur bouclier de bonnes intentions, refusent de participer à cette danse de la grève. C’est comme si on leur avait offert une place au bal, mais ils préféraient rester à la maison regarder Netflix.

Pendant ce temps, le gouvernement assure que tout va bien se passer, que les primes pleuvront sur les fonctionnaires mobilisés pendant les JO. Ah, les primes ! C’est la carotte qu’on agite devant l’âne pour le faire avancer. Mais je suppose que pour certains, même une prime de 1 500 euros ne vaut pas la peine de se déchaîner pendant les Jeux.

Enfin bon, dans ce grand cirque pré-olympique, une chose est sûre : la CGT ne risque pas de décrocher la médaille d’or de la diplomatie sociale. Et pendant que les athlètes s’entraînent pour battre des records, nos braves fonctionnaires s’entraînent pour battre des records de grève. Vive le sport !

Citation de Madame-Raleuse.com

Entre revendications et festivités, les Jeux Olympiques de Paris 2024 deviennent un terrain de jeu pour la lutte sociale.

Exprimez-vous !

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront-ils un spectacle de célébration ou de revendications sociales ? Qu’en pensez-vous ? Exprimez-vous dans les commentaires ci-dessous !

(source : Le Monde)

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