Bienvenue dans le monde sarcastique et percutant de Madame-Raleuse.com Dans ce texte, nous explorerons une récente décision de la préfecture de police de Paris, qui a créé un tollé dans la Ville Lumière . Alors que le pays connait une vague de pauvreté et que les restos du cœur ne savent plus où donné de la tête, l’absurdité de la bureaucratie est à son apogée : il est devenu interdit de donner à manger aux sans-abris. (source : Le Parisien)
Liberté, Égalité, Fraternité mise à l’épreuve
Ah, Paris, la ville de l’amour, des lumières, et maintenant de la gastronomie interdite ! Comme dirait Voltaire, “La liberté de distribuer de la nourriture est le propre de l’humanité, mais apparemment, dans ce quartier, c’est une idée trop saugrenue.”
La préfecture de police de Paris a pris une décision tout à fait rationnelle, en interdisant les distributions alimentaires dans un quartier où se trouvent des migrants et des sans-abri. Comme l’a dit Jean-Jacques Rousseau, “Là où la misère est présente, il est du devoir d’une société basée sur la liberté, l’égalité et la fraternité de tendre la main et de nourrir ceux qui ont faim.”
Ils ont même pris la peine de délimiter cette “zone interdite de nourriture”, comme si les sans-abri étaient des animaux sauvages qui ne devraient pas être nourris. Cela rappelle la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, qui proclame que “Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits.”
La politique anti-SDF à l’Œuvre
La préfecture nous explique que ces distributions alimentaires attirent les sans-abri et les migrants, créant ainsi des camps. Oui, bien sûr, c’est tellement logique. C’est comme dire que les feux de signalisation causent des embouteillages. Comme l’a si bien dit Victor Hugo, “Là où il y a de l’injustice, la liberté est en danger.”
Et bien sûr, ils ont attendu que les “attroupements” et les “débordements sur la voirie” deviennent une habitude pour agir. Comme le disait Albert Camus, “Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde.”
Ah, mais le clou du spectacle, c’est cette remarque sur les Jeux olympiques. Comme l’a proclamé la devise de la République française, “Liberté, égalité, fraternité”, nous devrions nous rappeler que la liberté de manger ne devrait pas être conditionnelle à des événements sportifs.
En fin de compte, c’est toujours les plus vulnérables qui trinquent. Mais que voulez-vous, c’est la politique anti-SDF que l’État mène, et ils ont choisi la journée internationale de lutte contre le sans-abrisme pour le célébrer. Comme le disait Simone de Beauvoir, “On ne naît pas femme, on le devient.” De même, on ne naît pas sans-abri, on le devient, en grande partie à cause de politiques qui négligent les principes de liberté, d’égalité et de fraternité.
Citation de Madame-Raleuse.com
Bienvenue à Paris, où donner un sandwich à un sans-abri est devenu un acte de rébellion !
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Pensez-vous que les restrictions sur les distributions alimentaires à Paris servent véritablement l’intérêt public, ou est-ce un exemple d’une politique qui va à l’encontre des valeurs d’humanité ? Que pensez-vous de la décision de la préfecture de police de Paris d’interdire les distributions alimentaires dans certains quartiers ? Partagez vos opinions et vos préoccupations ci-dessous.
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