Pourquoi le choléra à Mayotte : Négligence politique et risques sanitaires explosifs

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choléra à mayotte

Plongez dans les abysses de l’insouciance politique et des risques sanitaires avec Madame-Raleuse.com. Découvrez comment le choléra a réveillé les fantômes du passé à Mayotte, laissant planer des questions brûlantes sur la responsabilité des autorités. Accrochez-vous, ça va secouer !

Retour du choléra : Une nostalgie inattendue

Ah, le choléra, cette petite surprise rétro qui a fait ressurgir la nostalgie des épidémies d’antan en France. Parce que, voyez-vous, on avait tous oublié ce petit plaisir de se laver les mains dans l’eau croupie pour pimenter un peu nos vies modernes. Mais c’était sans compter sur Mayotte, où le choléra a décidé de faire son grand retour, histoire de rappeler aux plus jeunes que nos ancêtres s’amusaient bien dans la saleté.

Oui, le choléra a choisi Mayotte comme destination de vacances, plus précisément les bidonvilles de M’Tsangamouji et Koungou, pour une virée nostalgique dans les années 1800. Avec 108 cas au compteur, c’est presque une réunion de famille pour cette bactérie qui avait un peu perdu le contact avec ses vieux potes français.

Les scientifiques, toujours là pour casser l’ambiance, ont pointé du doigt l’absence de raccordement à l’eau dans ces coins perdus. Parce que bon, faut pas pousser, l’eau potable, c’est bien pour les bobos, mais dans les bidonvilles, on préfère l’authenticité, même si c’est une authenticité à base de diarrhée.

Et puis, il y a eu ces rapports secrets, comme dans un mauvais film d’espionnage, où on découvre que, oh surprise, l’eau potable aurait pu éviter tout ce bazar. Mais bon, pourquoi faciliter les choses quand on peut se compliquer la vie, surtout quand ça concerne les migrants, ces touristes clandestins qui adorent jouer à cache-cache avec la police.

Politique et choléra : Un cocktail dangereux

Les politiciens locaux, toujours aussi drôles, ont préféré jouer au poker avec la vie des gens plutôt que de tirer quelques tuyaux pour les plus démunis. Parce que, voyez-vous, ouvrir les robinets, ça risquerait d’attirer encore plus de monde. Comme si Mayotte était devenue la nouvelle Ibiza pour les bactéries en quête de sensations fortes.

Et pendant ce temps-là, la police, fidèle au poste, veillait au grain près des fontaines, histoire de mettre un peu de piment dans le quotidien des habitants. Parce que rien de tel qu’un bon coup de matraque pour dissuader les gens de se laver les mains. Et voilà comment le choléra a décidé de s’installer pour un long séjour, bien au chaud dans les bidonvilles, pendant que les politiciens se demandent s’il vaut mieux raccorder ou déloger. Ah, la vie est belle, n’est-ce pas

Citation de Madame-Raleuse.com

Le choléra revient hanter les bidonvilles, rappelant que la politique peut être aussi contagieuse que la maladie elle-même.

Exprimez-vous !

Quand la négligence politique devient-elle plus dangereuse que le choléra lui-même ? Qu’en pensez-vous ? Votre avis compte !

(source ; L’Express)

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