Radicalisation à 12 ans : quand les jeux vidéo deviennent un terrain dangereux

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Quand un enfant de 12 ans s’amuse avec des vidéos de tueries et de propagande djihadiste au lieu de ses jouets, il est temps de s’interroger sur l’avenir de notre société. Madame-Raleuse.com vous emmène dans les profondeurs d’une histoire qui glace le sang et vous pousse à réfléchir. Allez-vous oser lire la suite ? (source : France 3)

Quand l’innocence se prend une claque

Ah, la belle époque où les enfants de 12 ans jouaient encore aux billes, montaient des cabanes et rêvaient de devenir astronautes ou pompiers. Mais visiblement, ce temps est révolu. Maintenant, certains préfèrent s’intéresser à des sujets un peu plus… explosifs, littéralement. Prenons ce jeune garçon de Sochaux, par exemple, qui, à défaut de s’enthousiasmer pour les derniers jouets à la mode, a décidé que partager des vidéos de tueries et de propagande djihadiste était un passe-temps bien plus enrichissant.

À 12 ans, quand d’autres s’occupent à collectionner des cartes Pokémon, lui s’amuse à collectionner des vidéos de massacre. Il fallait bien qu’il se démarque ! Et puis, pourquoi se contenter de jouer à « Fortnite » quand on peut regarder de vraies scènes de guerre et les partager avec ses amis en ligne ? Après tout, quoi de plus normal que de vouloir faire profiter tout le monde de ses découvertes macabres ?

Entre jugement et réhabilitation

Mais trêve de plaisanteries, le voilà maintenant devant le tribunal pour enfant de Montbéliard, à devoir s’expliquer sur ses choix de divertissement plutôt… particuliers. Alors que d’autres enfants de son âge passent leurs vacances d’été à jouer dans des parcs d’attractions, lui a eu droit à une hospitalisation et à une mesure de placement provisoire. Les autorités ont même eu l’élégance de l’entendre à huis clos, parce qu’il ne faudrait surtout pas perturber son innocence juvénile, n’est-ce pas ?

Quant à ses parents, ils semblent tomber des nues, affirmant n’avoir jamais remarqué le moindre signe de radicalisation. Comme quoi, entre deux parties de « Call of Duty », il est tout à fait possible de passer inaperçu. Il faut dire que, de nos jours, les conversations sur les explosifs et les pseudonymes de terroristes américains, ça passe crème entre deux devoirs de maths.

Bref, un beau tableau de notre époque, où l’enfance est redéfinie à coups de vidéos de tueries et de propagande. Mais rassurons-nous, ce jeune garçon ne risque que des sanctions éducatives. Peut-être qu’un bon cours sur les bienfaits des hobbies plus conventionnels, comme le tricot ou la philatélie, pourrait le remettre sur le droit chemin. Parce que bon, autant éviter qu’il ne s’intéresse au prochain niveau de jeu, encore plus radical.

Citation de Madame-Raleuse.com

À 12 ans, il partageait la terreur comme d’autres échangent des cartes Pokémon.

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La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

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