Records de CO₂ : De l’ère des dinosaures à l’explosion climatique contemporaine avec TotalÉnergies

Environnement
Dinosaures généré par craiyon

Dans cette exploration de l’histoire des émissions de CO₂, Madame-Raleuse.com met sa plume sarcastique au service d’une analyse décapante, nous plongeant dans un récit aussi divertissant qu’inquiétant. Préparez-vous à rire jaune tout en réfléchissant sur les sombres records de notre impact sur la planète, avec un clin d’œil bien sûr à TotalÉnergies, l’acteur incontournable de cette comédie carbonée

Bal des dinosaures à TotalÉnergies

Ah, l’histoire romantique de notre petite planète bleue, du bal des dinosaures aux rires hystériques de TotalÉnergies. Une saga captivante qui met en scène des records de CO₂ dignes des plus grandes productions hollywoodiennes.

Imaginez une équipe de chercheurs, non pas une poignée, mais quatre-vingts cerveaux brillants de seize nationalités différentes, qui ont consacré sept longues années à scruter les archives pour nous pondre une base de données à faire pâlir d’envie même la NSA. Le CenCO2PIP (parce que les noms compliqués, c’est classe) nous livre le grand récit de la concentration de dioxyde de carbone, une épopée qui remonte à 66 millions d’années, à une époque où les dinosaures faisaient la danse du feu.

Mais, accrochez-vous bien, les amis, car le suspense est à son comble : nous sommes sur le point d’atteindre des niveaux de CO₂ jamais vus depuis au moins 14 millions d’années. Oui, vous avez bien entendu, même les dinosaures n’avaient pas inhalé autant de CO₂ en une seule bouffée. Les chameaux et les rhinocéros en France à l’époque, c’était de l’histoire ancienne, comme une anecdote bizarre d’un oncle lointain.

Et hop, en 2023, nous sommes sur le point de faire péter les compteurs avec une valeur folle de 419 ppm. Les graphiques sont là pour nous rappeler que la Terre n’a pas connu une telle teneur en CO₂ depuis que les dinosaures se sont évaporés, et même plus longtemps que ce que les scientifiques prévoyaient (ils ne sont décidément jamais contents).

La cerise sur le gâteau, c’est que nous fonçons à une vitesse vertigineuse vers les 480 ppm. On se rapproche à grands pas du Miocène, une époque où la France était le terrain de jeu des chameaux, et le Groenland était la destination tendance des vacanciers forestiers.

La planète en surchauffe et le jackpot du réchauffement

Ah, mais ne vous inquiétez pas, cette métamorphose soudaine n’est comparable qu’à deux événements mémorables : l’impact de la météorite qui a fait disparaître les dinosaures (66 millions d’années et une crise existentielle plus tard) et le passage du Paléocène à l’Éocène, il y a 56 millions d’années. Un relâchement soudain de CO₂ qui, selon les chercheurs, était probablement dû à l’activité volcanique, la fonte d’hydrates de méthane, ou peut-être à une soirée barbecue un peu trop animée sur la tourbe du Groenland.

Mais ce n’est pas tout, mes amis ! En seulement 200 ans, nous avons réussi à reproduire le même exploit que la nature a mis des milliers d’années à accomplir il y a 56 millions d’années. Bravo à nous, la civilisation industrielle, pour cette performance exceptionnelle !

Et voilà, le grand final : si l’on double la concentration de CO₂ dans l’air d’ici la fin du siècle (parce que pourquoi pas ?), les climatologues prédisent un réchauffement climatique de 1,5 °C à 4,5 °C. C’est comme gagner à la loterie, mais au lieu d’un jackpot, on a droit à une planète en surchauffe. Mais bon, soyons positifs, ça réchauffe toujours mieux qu’un bon vieux dinosaure.

Citation de Madame-Raleuse.com

De la nostalgie des dinosaures à l’apogée du CO₂, l’humanité a réussi à battre un record : reproduire en deux siècles ce que la nature a pris des millions d’années. Bravo, la Terre ne sait plus si elle doit rire ou pleurer, mais TotalÉnergies applaudit en coulisses !

Exprimez-vous !

Face à l’accélération fulgurante des niveaux de CO₂ et aux conséquences potentielles sur notre climat, comment envisagez-vous notre responsabilité collective et les actions nécessaires pour freiner cette course infernale vers des records inquiétants ? Partagez vos réflexions et engageons ensemble la discussion sur le futur de notre planète.

(source : Reporterre)

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