repression policière paris 2024

Plongez dans les dessous caustiques des préparatifs pour les Jeux de Paris 2024 avec Madame-Raleuse.com. Découvrez comment la répression policière et la gentrification se conjuguent pour façonner l’ombre des festivités olympiques. Prêts à briser le silence ?

Vacances forcées : une offre irrésistible

Ah, quelle perspective réjouissante ! Les policiers, ces charmants agents du maintien de l’ordre, nous proposent une petite escapade loin de nos rues pittoresques. Comment ne pas être touché par leur sollicitude ? C’est tellement gentil de leur part de nous offrir ce séjour improvisé, à trois mois seulement des Jeux de Paris ! Après tout, quoi de mieux que de prendre des vacances forcées pendant quinze jours, non ?

Ah, ces pauvres prostituées, victimes d’une répression accrue ! On sent vraiment l’amour maternel de l’État français qui prend soin d’elles. Les autorités, dans leur grande bonté, se préoccupent tellement de leur bien-être qu’elles multiplient les amendes et les contrôles. Et maintenant, cette invitation impromptue à quitter le pavé pendant les Jeux, c’est comme un bouquet de fleurs, mais sans les fleurs, ni le bouquet.

Vous savez, ces dames ne sont pas ingrates. Elles comprennent parfaitement que la présence de quinze millions de visiteurs, dont certains venant de contrées exotiques où la prostitution est aussi taboue que porter des chaussettes avec des sandales, puisse causer quelques frissons à nos protecteurs en uniforme. C’est vrai, on ne voudrait pas choquer les âmes sensibles des supporters en montrant les dessous… euh, les recoins moins reluisants de la ville lumière !

Gentrification en vue : la chasse aux “intrus”

Et que dire de cette charmante initiative de s’associer avec des hébergeurs comme Booking et Airbnb pour chasser les vilaines méchantes personnes prostituées de leurs refuges temporaires ? C’est une véritable aubaine pour les loueurs honnêtes qui veulent éviter de ternir leur réputation en accueillant ces pauvres âmes égarées. Et pour ceux qui osent quand même les héberger, eh bien, ils pourront simplement gonfler les prix, histoire de compenser le risque, n’est-ce pas ?

Ah, mais ce n’est pas tout ! Ces mesures, si généreusement proposées, sont aussi l’occasion pour nos forces de l’ordre de montrer leur côté créatif. Suivre les travailleuses du sexe jusqu’à leur domicile pour ensuite les dénoncer à leur propriétaire, c’est comme un épisode de Sherlock Holmes, mais avec moins de logique et plus de délation.

Et puis, pourquoi ne pas profiter de cet événement mondial pour donner un petit coup de pouce à la gentrification de la ville ? Après tout, quoi de mieux pour embellir Paris que de se débarrasser de ces éléments gênants qui encombrent nos trottoirs ? C’est comme un grand ménage de printemps, mais avec plus de bouleversements sociaux et moins de fleurs.

Alors, chères travailleuses du sexe, armez-vous de courage et de flyers détaillant le programme des Jeux ! Car après tout, une petite pause forcée, c’est bon pour le moral, n’est-ce pas ? Et qui sait, peut-être que cette répression joyeuse et spontanée continuera même après la compétition, pour notre plus grand plaisir !

Citation de Madame-Raleuse.com

Les Jeux de Paris 2024 : quand la répression devient le spectacle et la gentrification la norme.

Exprimez-vous !

Les mesures de répression et de gentrification avant les Jeux de Paris 2024 : progrès ou recul pour la société ? Qu’en pensez-vous ? Partagez votre avis dans les commentaires !

(source : France Info)

La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

Alors si vous voulez rester informé(e) malgré cette répression féroce, abonnez-vous vite à la newsletter de Madame-Raleuse.com, C’est GRATUIT !

Et pour les plus intrépides qui aiment se livrer à une chasse au trésor sur les réseaux, vous pouvez toujours me chercher sur Vk, Facebook, Wattasapp et même Telegram (mais avec une chance incertaine, vu la censure qui plane comme une épée de Damoclès). 😂

Partager l’article sur :

One Comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *