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Dans ce nouvel article percutant, Madame-Raleuse.com jette un regard mordant sur la répression syndicale en France. Attachez vos ceintures, car elle dévoile les dessous d’un “grand bal judiciaire” où la lutte pour les droits des travailleurs prend des allures de cirque gouvernemental. (source : L’Humanité)

Le bal tragique des convocations

Ah, la CGT, toujours dans les bons coups ! Plus de 1 000 militants traînés devant les tribunaux, c’est pas du tout exagéré, c’est juste le gouvernement qui veut jouer à cache-cache avec les secrétaires généraux. Sophie Binet, la Sherlock Holmes du syndicalisme, dénonce un “contexte de répression antisyndicale inédit depuis l’après-guerre”. Oui, parce que c’est bien connu, manifester contre la réforme des retraites, c’est aussi grave que de lancer une attaque nucléaire.

On compte pas moins de 17 secrétaires généraux d’organisations CGT convoqués. C’est sûr, être secrétaire général, c’est comme être le super-héros des justiciers, mais sans les super-pouvoirs, juste avec des convocations à la gendarmerie. Myriam Lebkiri et Marc Roudet ont tellement hâte d’aller à la gendarmerie qu’ils ont déjà choisi leurs plus beaux costumes. Une audition, c’est tellement chic, ça devrait être dans tous les magazines de mode.

Le cirque judiciaire et les priorités gouvernementales

Sophie Binet, dans son élan de créativité, propose au gouvernement d’arrêter de jouer à la poupée avec les militants syndicaux et de se concentrer sur des trucs plus fun, comme la chasse aux extrémistes de droite ou le trafic de drogue. Parce que, franchement, qui a besoin de droits sociaux quand on peut traquer des trafiquants ?

Elle a raison, Sophie, pendant que les salaires baissent et que les entreprises font la toupie, on devrait applaudir le gouvernement pour ses talents de jongleur judiciaire. Après tout, réprimer l’action syndicale, c’est un excellent moyen d’empêcher les gens de se plaindre. Qui a besoin de droits quand on peut avoir des menottes, non ?

En conclusion, la CGT demande une “loi d’amnistie”. Parce que, soyons honnêtes, rien ne vaut une bonne amnistie pour oublier tous ces tracas judiciaires. En tout cas, le gouvernement ferait bien de prendre des notes, parce que cette répression antisyndicale, c’est un peu comme organiser une fête où tout le monde est invité, mais finalement, personne ne peut danser. Chapeau bas, messieurs les politiciens, vous avez vraiment le sens de l’humour, même si personne n’est vraiment prêt à rire.

Citation de Madame-Raleuse.com

Entre chasse aux syndicalistes et jonglage avec les droits sociaux, on se demande si c’est un cirque ou une démocratie

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La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

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