Bienvenue sur Madame-Raleuse.com, le foyer des vérités qui décoiffent ! Aujourd’hui, nous mettons à nu le chaos de la CAF et son algorithme discriminatoire. Attachez vos ceintures, car les faits choquants vont pleuvoir. Prêt·e pour un plongeon dans l’injustice de l’algorithme ?
Le cirque de la CAF
Ah, la CAF, cette institution débordante d’amour et d’empathie ! On peut presque entendre le directeur chanter “Don’t worry, be happy” tout en niant l’évidence. Le mec a un talent pour le déni qui rivalise avec une autruche planquée la tête dans le sable.
“Nous n’avons pas à rougir ou à nous excuser”, dit-il, avec la délicatesse d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Parce que publier le code source d’un algorithme discriminatoire, c’est juste de l’humour, non ?
Et bien sûr, le directeur assure que l’algorithme n’est pas discriminatoire, il est juste là pour “classer” les gens. Parce que se faire classer, c’est tellement chic, c’est comme être invité à une soirée mondaine. “Non, non, on ne les surveille pas, on les classe, c’est différent”, dit-il en se donnant des tapes dans le dos.
Et puis, il y a ce petit problème sémantique. Discriminatoire ? Non, voyons, c’est juste une manière sophistiquée de trier la population. Surveillance de masse ? Bah, c’est le genre de préliminaire nécessaire avant de jouer à un jeu de tri sélectif. Ils doivent garder un “coup d’avance” face à ceux qui ont le malheureux objectif de frauder le système, selon le directeur qui aime jongler avec ses contradictions.
L’enjeu politique du harcèlement numérique
Ah, et la cerise sur le gâteau, l’argument mathématique ! L’algorithme est là pour détecter des indus, mais pas n’importe lesquels, seulement ceux au-dessus d’un certain montant. Parce que détecter les petits indus, c’est tellement démodé. L’objectif, c’est de maximiser les montants récupérables, peu importe les dommages collatéraux.
Et bien sûr, tout cela dans la plus grande transparence ! “Notre fonctionnement n’est pas opaque”, assure le directeur. Mais quand on a dû se battre pendant des mois pour obtenir le code source de l’algorithme, ça respire la transparence, vraiment.
L’enjeu n’est pas financier, non non, c’est politique. On parle d’une broutille de 200 millions d’euros par an, soit 0,2% des prestations sociales. Mais bon, l’algorithme est l’instrument magique qui permet aux dirigeants de la CAF de briller dans le monde de la gestion institutionnelle. Efficacité, rendement, modernité, les maîtres-mots pour justifier une politique de harcèlement numérique envers les plus précaires.
Alors voilà, chers employés de la CAF, merci pour votre engagement. Course au rendement, surveillance informatique, pertes de moyens humains, tout ça, c’est juste pour le bien-être de la société, évidemment. Et à tous les collectifs qui luttent contre les pratiques de la CAF, on dit bravo ! On continuera à les soutenir et à se mobiliser, parce que la quadrature du cercle, c’est notre truc. Et si vous voulez nous écrire, n’hésitez pas, on adore les histoires à dormir debout à propos de transparence et d’éthique.
Citation de Madame-Raleuse.com
La CAF : Championne du déni ou maître incontesté de la discrimination algorithmique ? Exprimez votre coup de cœur (ou de colère) dans les commentaires, nous sommes prêts à applaudir (ou à dénoncer) avec vous !
Exprimez-vous !
La CAF : Championne du déni ou maître incontesté de la discrimination algorithmique ? Exprimez votre coup de cœur (ou de colère) dans les commentaires, nous sommes prêts à applaudir (ou à dénoncer) avec vous !
(source : La Quadrature du net)
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