Accrochez-vous bien, car Madame-Raleuse.com vous dévoile les dessous croustillants du Conseil d’État et les rebondissements ahurissants du monde médiatique, avec en toile de fond l’intrigante influence de l’Arcom ! Préparez-vous à être secoué(e) par des révélations explosives et des débats enflammés. Voyez ce qui se passe lorsque le régulateur des médias, est sommé de renforcer son contrôle sur la chaîne Cnews dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré. Êtes-vous prêt à ploger dans les méandres de cette saga captivante ?
Les coulisses du Conseil d’État
Ah, novembre 2021, ce mois béni où Reporters Sans Frontières (RSF), armé de son glaive de justice médiatique, lançait une attaque fulgurante contre le sanctuaire de l’objectivité journalistique : CNews. Tel Don Quichotte modernisé, RSF chargeait à la rescousse de l’honnêteté, de l’indépendance, et du pluralisme de l’information, avec l’Arcom comme son fidèle Sancho Panza. Une épopée digne des plus grandes tragédies grecques, où le combat pour la vérité se transforme en un spectacle aussi épique que comique.
L’Arcom ayant refusé de gérer cette requête faute de compétences, RSF a lancé un recours auprès du Conseil d’État, où les jugements sont aussi transparents qu’un mur de briques et les débats aussi animés qu’une partie de bridge chez les pères jésuites.
Imaginez-vous, deux chambres réunies, pas pour discuter de la prochaine vente aux enchères de vieux meubles de bureau, non, mais pour débattre passionnément du recours de Reporters sans frontières. Apparemment, c’est une affaire tellement sensible que le président de chambre initial a préféré jouer la carte du “je me retire discrètement”.
Et bien sûr, comme dans tout bon drame judiciaire, le spectacle se passe en coulisses. Vous avez l’impression d’être à un bal masqué où les masques sont bien sûr obligatoires et où les conversations sont plus codées que les manuscrits de Voynich.
Les péripéties du pluralisme médiatique
Et là, tenez-vous bien, après des mois d’attente digne d’une éclipse solaire, la décision tombe enfin ! Le Conseil d’État impose à l’Arcom de réexaminer une demande de mise en demeure formulée par RSF contre CNews. Mais attendez, ne tirez pas de conclusions hâtives, car le Conseil d’État prend bien soin de préciser qu’il ne reproche rien à la chaîne de télévision. Non, non, tout va bien dans le meilleur des mondes médiatiques.
Cependant, il semblerait que le Conseil d’État ait décidé de faire un petit coup de balai dans les méthodes de l’Arcom, histoire de les secouer un peu. “Ils vont loin, sans trop savoir où mettre les pieds”, commente un juge administratif. En effet, on dirait qu’ils ont jeté la carte au trésor sans la moindre indication sur l’île au trésor.
Et bien sûr, comment ne pas mentionner le grand débat sur le “pluralisme de l’information”, un sujet qui fait vibrer les cordes sensibles de nos institutions comme une symphonie de vuvuzelas. Le Conseil d’État propose alors une solution révolutionnaire : prendre en compte toutes les personnes qui interviennent dans le débat, du journaliste sérieux au chroniqueur loufoque en passant par l’animateur de talk-show survolté. Car oui, pourquoi ne pas inviter le Monsieur Météo à donner son avis sur la crise économique ?
Enfin, on ne peut s’empêcher de savourer le petit coup de pied au derrière administratif que le Conseil d’État adresse à l’Arcom. “Tiens, voilà un peu plus de pouvoir, maintenant débrouillez-vous avec ça !”, semblent-ils dire en riant sous cape.
Ah, la justice administrative française, un spectacle permanent où même les clowns ont des avocats.
Citation de Madame-Raleuse.com
La justice administrative : un bal masqué où même les clowns ont des avocats.
Exprimez-vous !
Et vous, pensez-vous que le Conseil d’État a fait preuve de clairvoyance ou s’est-il simplement égaré dans les dédales de la justice administrative ? Dites-nous ce que vous en pensez dans les commentaires ci-dessous ! Est ce que l’Arcom est frappée à sont tour part une spécialité de nos dirigeants, l’art de la com’ ?
La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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